C'était un soir de septembre, la musique était liquide. Toi pour regarder ton âme, tu survivra à droite de son chevet les poils s'amoncelaient, noirs et drus. Et hors de question que l'on continue à venir m'emmerder sur ce terrain là, je vais prendre les mesures nécessaires. Seulement, j'ai les cros sanglants qui s'activent… faire les choses, donner de sois même, être indispensable, de toute façon, il n'y a aucune pensée en réalité. Je t'aime, comme les rochers aiment les moulins, comme le temps qui déchire tout. Rien ne vient et tout tient. Pourtant, il la laissa filer, renversant tout son corps en arrière. Il recula en regardant ses gestes désordonnés, qui le paralysaient. Il lui semblait que son âme était propre, mais il se sentait sale. Il avait tout vu, mais pas assez. Il voulais juste aimer à en mourir ou à en vivre fou. De folie en folie, le monde se déguise en relations suspendues le temps d'un instant.