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Le blog de ceux qui ont assez d'amis pour en dire du mal

Articles du mois

XXYZ 2009 clôture en photo

Posté dans Fêtes familliales par Asthik

Parce que Sexysperma est trop sexy, elle a pris plein de photos telle une envoyée spéciale épileptique.

xxyz2009-photos

Et encore, on est juste en train de se changer.
Gémissez en découvrant l'album XXYZ 2009 des vipères overoptimales !

Tu m'oublieras (mais tu vas en chier)

Posté dans Musique par Asthik

Ooh, tu vas partir
Je sais, tu oublieras
Tu oublieras
Tout ces jours, tout ce temps
Qui n'appartenait qu'à nous
Ce réveil, un matin
Tes bras autour de mon cou
Et l'amour que l'on faisait n'importe où
Tu oublieras
Tout le mal que tu as
En me regardant souffrir
Ces instants difficiles
Où tu ne sais plus quoi dire
Et qu'il faut simplement partir

Tu oublieras
Les sourires, les regards
Qui parlaient d'éternité
Tout ces mots que l'on jure
De ne jamais oublier
Tu oublieras, tu m'oublieras

{You will forget {x3} }

Tu oublieras
Ton attente impatiente
Accroché au téléphone
Le premier rendez-vous
Qu'un soir enfin je te donne
Cette nuit qui a changé toute ma vie

Tu oublieras
Si c'était en avril,
En septembre ou en juillet
S'il faisait du soleil
Ou si la pluie tombait
Tu oublieras

Tu oublieras
Le soleil que mes mains
Faisaient naître dans les tiennes
Le bonheur délirant
Qui faisait brûler tes veines
Et ce cris vers le ciel
Qui fini dans un « Je t'aime »

Tu oublieras
Tout de nous
Quand ton souffle sera court
Quand ses yeux seront flous
Quand tu lui fera l'amour
Tu oublieras
Tu m'oublieras

{You will forget {x3} }

Tu oublieras
Comme un film
Passe sur un écran noir
Car l'amour, oh l'amour
Tu sais
Ah ah Yeah
N'a pas de mémoire

Selon toute vraisemblance tout le monde se casse

Posté dans Faits divers par Herr.ektor

Après le déchirement provoqué par le départ de J&R., notre bande de vipère se retrouve amputée à nouveau d’un de ses membres fondateur E. Toulouse deviendrait elle l’amante syphilitique délaissée par ses conquêtes, pour Paris l’ogresse qui dévore sans complexe quiconque tombe dans ses bras pollués ? Toulouse se délite de ses élites, comme un coléoptère de ses élytres agonisant au sol en attendant qu’un prédateur l’ingère.

Les survivants souffrent du syndrome du membre fantôme, se refusant à croire qu’encore une partie de leur corps a disparue à cause de la crise. Nous ne serons bientôt plus qu’un tronc gisant dans la rue, vivant de mendicité auprès des passants désabusés, pleurant nos souvenirs de courses folles dans les rues de la ville pour mettre le feu à toutes les fêtes molles. Toulouse deviendrait-elle lisse au point que plus rien n’accrocherait sa peau ? Sommes nous destinés à être les esclaves de nos angoisses de morcellement ? Est-ce là le crépuscule pourrissant des poètes, la décrépitude annoncée par les livres sacrés ?

J’ose espérer croire que le thème de 2009 sera salvateur pour la bande de vipères handicapées que nous sommes. Nous nous devons de développer nos activités à but non lucratif mais ludique et telle l’hydre de Lerne faire que nos têtes se régénèrent doublement lorsqu’elles sont tranchées. Que nos exilés se rassurent nous les accueilleront toujours les bras ouverts comme les femmes des armées de croisés partis à la recherche d’un Graal jamais trouvé, qui pouvaient enfin laisser de côté leur ceinture de chasteté. Nous ne serons peut être pas aussi fidèles mais nous seront pardonnés, excusés par la distance nous danseront pour oublier votre absence.

We love you

You think you know fashion ?

Posté dans Musique par Asthik

Totaly cool !

I'm avangarde. I'm the air. I'm the vogue. I'm the she-she hoo, he-he. I'm the man. I'm the vogue. I'm the edge. I'm the chic. I'm the taste. I'm the larger than life.

You think you know fashion ?
Well, fashion is a stranger.
You think fashion is your friend ?
My friend, fashion is danger.

Pausing ! Pausing at the bar.
Pausing ! Pausing sitting down.
Pausing ! Pausing in the distance.
Pausing ! Pausing with my arm.
Pausing ! Pausing with my leg.
Pausing ! Pausing like a swan.
Pausing ! Pausing for a portrait. Pausing a threat !

You think you know fashion ?
Well, fashion is a stranger.
You think fashion is your friend ?
My friend, fashion is danger.

Festival XXYZ 2009 suite et fin

Cette semaine et ce week-end s’est tenu le festival xxyz. Certains ont été fidèles à l’événement et ce sont rendus à plusieurs soirées projection durant la semaine profitant de l’occasion, m’a-t-on dit, pour se trémousser sur le dancefloor du Shangai.

Vendredi étaient projetés les incommensurables clips de Miche.L et Moche.T et Odile et Vilaine. Nous ne pouvions malheureusement pas tous être présent pour cette soirée mais les vidéos ont remportés un franc succès. La salle en délire a acclamé le talent de nos amis vipérois et vipéroise. Grisée par le succès, la petite bande de vipères présentes s’en est allée se saouler comme il se doit. Au grès du hasard, au coin d’un bar, O. a pu rencontrer l’homme au mordant marquant qui l’avait scarifié précédemment (voir le détail dans l’article juste avant).

Mais le clou de la semaine était samedi soir, pour la clôture du festival avec sa boum annuelle. Nous nous sommes retrouvés rue B, dans l’antre de la débauche et du raffinement, pour nous préparer et nous désaltérer, assoiffés perpétuels que nous sommes. Nous avons alors fait connaissance avec un groupe d’ibériques excentriques très sympathiques. Après quelques heures de perfectionnement de nos tenues et quelques bouteilles, nous étions tous prêts pour partir à l’aventure. Les yeux cernés de noir et de rose, brillants de milles feux pailletés, les cheveux bien coiffés, certains ont tout simplement pris le métro et d’autres se sont lancés, les faux cils au vent, avec leurs fidèles destriers dans la traversée de Toulouse. Notre arrivée fût pour le moins remarquée. Un vent de bonne humeur, de joie, d’allégresse et de folie nous accompagnait, comme d’habitude, ce qui a définitivement changé l’ambiance de la soirée. Comme toute star qui se respecte nous sommes arrivés suffisamment en retard pour ne pas assister à la remise des prix. C’est donc après tout le monde que nous avons appris que nos étoiles avaient été remerciées par le jury d’un prix ex æquo. Le trophée, un talon d’or, avait malheureusement été déjà rangé ou plutôt abandonné dans un coffre de voiture et le personnel déjà bien fatigué ne voulait en aucun cas aller le chercher. Vexés par cet acte peu respectueux de nos idoles, nous avons décidé de mettre le feux à la cave où se jouait une musique électronique ma foi bien sympathique. Il y faisait chaud dans cette petite cave et on était bien serrés. La température des corps s’est élevée et des pelles ont été roulées. V. s’en est allée peu après minuit, telle une petite cendrillon des temps modernes, elle avait un rendez-vous galant le dimanche aprem et ne tenait pas à ce que son teint soit défraîchit ni son haleine ternie par l’alcool de la veille. Elle avait bien raison.

Nous avons tous passer un dimanche assommant à part peut être quelqu’un… mais nous ne savons rien de plus pour le moment et ne voudrions point émettre des hypothèses hasardeuses voire même scabreuses sur ce blog plein de vérités…
Nous attendons en tout cas que la sus nommée Sexysperma, mette en ligne les photos qui illustrent nos faits et vous rendront jaloux de ne pas avoir fait partie de la party…

Dénouement d'une crémaillère sanglante

Posté dans Faits divers par Asthik

Ayant porté leurs vidéos de participation pour la soirée projection xxyz, V. et O. s'en allèrent boire du blanc chez X. si proche.

De rires en chansons, de clips en boissons, la conversation en vint à la fameuse crémaillère où O. fût mordu au sang.

Après trois mois, les stigmates étaient tout ce qui restait de tangible du souvenir ambigüe d'une folle soirée. Bien sûr O. avait essayé d'en savoir plus sur l'homme qui l'avait gouté, mais le fil entre les gens qui se connaissent était effilé et O. ne parvenait pas à la renouer.

Pourtant, au remplissage de verres la conversation prit une tournure inhabituelle quand X., l'air de rien, annonça l'incroyable : Wolverine était passé quelques jours après la fête pour laisser son numéro de téléphone à l'attention d'O. afin qu'il puisse lui présenter ses excuses.

!!! (trois points d'exclamations)

Ainsi Wolverine avait retrouvé le chemin de la rencontre, mais le dit numéro, prit à la hâte sur le tableau colocataire, au milieu des commissions pour la semaine et des recommandations concernant les toilettes de la cuisine, fût effacé sans le moindre palimpseste. Le temps était écoulé et l'appel de R. ponctua la conversation.

Après avoir pourri X. pour son manque d'efficacité à rapprocher les gens, V. et O. partirent retrouver R. et J. non sans mettre le feu à la cuisine.

La soirée s'avança donc : de projection en bière, de bière en marche, de marche en bar, de bar en bière… Peut-être était-ce des signes, mais O. retrouva de nombreux visages passés ce soir là, et alors qu'il rentrait en la compagnie des ses amis depuis peu exilés à Paris, alors même qu'il habitait à deux pas dans le sens contraire, la providence plaça des rouflaquettes familière sur le chemin :

O. : « Je te connais non, tu m'aurais pas mordu ? »

Il s'appelle Obwari.