accueil
Le blog de ceux qui ont assez d'amis pour en dire du mal

:term

Étiquettes / Gay Pride

Ca c'est de la chorée !!!

Posté dans Vie pratique par Herr.ektor

Voilà une bonne idée de chorée pour cet hiver.

maintenant à vous ….

Benoît, tourne-toi

Posté dans Musique par Asthik

« J'ai senti ce gros machin glisser en bas de mes reins. Il s'appelait Jean-mario, monté comme un taureau, il jouait du travelo. Ça ne sert à rien de se moquer, avez-vous essayé ? C'est pourtant pas compliqué, laissez-vous donc tenter. Pour ne rien vous cacher, je me suis donc mieux penché, pour enfin décoller, oui décoller. Benoit, tourne-toi ! »

« Tu ne serait pas un peu… techno ? »

Pour ceux qui ne l'on pas reconnu (probablement parce qu'ils ne la connaissent pas), il y a Najoua Belyzel parmi les filles. Pour mémoire, Gabriel :

Somebody To Love Me

Posté dans Musique par Asthik

markronson_sleeve

Electric Six : Gay bar

Posté dans Musique par Asthik

Souvenir, souvenir. Le clip d'une des chansons préférées de Cyprin alors qu'il était doux et innocent.

Cazwell : Ice Cream Truck

Posté dans Musique par Asthik

Une chanson de Cazwell pleine de glace, de sorbets et de trucs sucrés pour décorer. Cela dit, pas sûr que ça nous refroidisse…

Roux

Posté dans Société par Asthik

Un iconnu vous offre des fleurs

Posté dans Faits divers par Asthik

Ce soir j'étais content. Après un weekend sympathique, j'avais passé la soirée avec des amis merveilleux pour assister au concert sensationnel de Madmoizel. J'empruntais la rue Gabriel Péri au cours du long chemin qui séparait le St des seins de mon domicile lorsqu'on m'interpela : « Bien le chapeau ». De mon œil expert et entrainé je détaillais la source du commentaire. Un grand noir bien battit aux cheveux courts et peroxydés. Je répondis : « Jolie ceinture », après avoir reconnu les couleurs arc-en-ciel-gay de sa ceinture. Il me dit « tu es sûr ? », je répondis « j'en suis certain ».

Il marchait vite. Il était déjà à une dizaine de mètres devant moi. Je pensais à son corps contre mon corps, comme un volcan qui dort. Il s'arrêta, sorti une bouteille de son sac et bût. Je le rejoins. Il me tendit sa bouteille. J'allais la saisir quand je m'aperçus qu'il s'agissait de Vodka. Je lui dis que j'avais de l'eau et que ça m'allait très bien. J'entamais la conversation. Nous fîmes un bout de chemin ensemble et arrivé en haut de Gabriel Péri nous nous arrêtâmes.

Il avait passé 4 mois en prison pour de nombreux vols dans des magasins, et là il se rendait chez un gars « très sympa » dont il ne connaissait ni l'adresse ni le numéro de téléphone parce qu'il n'a pas de téléphone. Il avait un œil noir et l'autre bleu. Son corps se dessinait au travers de ses vêtements serrés. En un quart d'heure je sus tout de sa vie compliquée de foyer en foyer, de formation en formation, jusqu'à ce que je ne m'imagine plus du tout le ramener chez moi.

Je mis alors ma main sur son bras pour clore la conversation. Il me demanda mon prénom, il me donna le sien. Il me dit « je t'embrasse », et quand je lui tendit la joue il me répéta « je t'embrasse », enfournant sa grosse langue humide et habile dans ma bouche, serrant mon corps tout contre son corps, comme un volcan qui dort.

Got milk ?

Posté dans Vie pratique par Asthik

Chanteurs homosexuels comme si de rien n'était

Posté dans Société par Asthik

N'oublions pas que c'est surtout une question de visibilité, et que d'autre on souffert pour qu'aujourd'hui on puisse voir des chanteurs embrasser des hommes chez leur barbier. Une pensé ému pour Ricky Martin, qui avoue enfin être homosexuel :

« Continuer à vivre comme je l'ai fait jusqu'à aujourd'hui ternirait l'éclat dans lequel ces enfants sont nés. C'en est assez. Il faut que cela change. Aujourd'hui c'est mon jour, mon heure, mon moment »

Le point R. : L. & C., un jeudi

Posté dans Le point par Asthik

Mardi, rendez-vous était pris auprès de L. pour jeudi soir 21H. L. pose sur des congélateurs et je me sentais prêt à le réchauffer, mais le lapin fût plus fort que l'avenir. Dépité j'appelais tout de suite X. pour gouter à nouveau à une compagnie intéressante et chaleureuse. Il n'était pas loin, et il n'était pas seul. Son amoureuse et deux amis, dont un me dit « il ne sait pas ce qu'il perd » alors que je leur racontais la chasse et le lapin. Il parla pourtant d'abstinence toute la soirée, mais lorsque tout le monde fût couché et que je lui prit la main pour le tirer sur le canapé, il me bondi dessus telle une panthère sauvage affamée, arrachant mes vêtements préférés de ses dents. Après avoir connu des baisers, de la peau et un final des plus drôle, je rentrais chez moi le cœur léger pensant aux 3 heures 12 minutes de sommeil qui m'attendaient avant d'aller travailler.