Précédemment, les Vipères avaient acheté un cadeau un peu étrange à Asthik qui était un peu triste, dans une boutique tout aussi étrange. C'était une grenouille magique qui devait se transformer, mais en quoi ? En attendant qu'elle se transforme, les amis avait décidé d'aller assister à un concert de Firesperm.

Ce concert aura un impact prépondérant pour la suite de l'histoire et la grenouille se transformera pour la plus grande joie d'Asthik. Mais tout ça n'est-il pas trop beau pour durer ?

Au programme de ces chapitres IV, V, VI et VII : des transformations, de la gérontologie, et bien sûr du sexe et de la drogue… Laissez vous porter par le suspens des nouvelles et fabuleuses aventures de nos hyper-héros ici.

Désormais, tous les mercredis, vous retrouverez la suite des aventures des Vipères et comme je suis d'humeur généreuse, je vous posterai plusieurs chapitres en même temps non sans vous prévenir mais soyez attentifs.

Vous en avez rêvé pendant des mois et Herr.Ektor l'a fait !!! Oui vous avez bien compris voici la suite des aventures de nos hyper-héros préférés. Comme c'est l'automne aujourd'hui et que j'affectionne particulièrement cette saison, je vous fais découvrir non pas un, ni deux, mais trois nouveaux épisodes de la saga de l'automne : Les Vipères et la baguette de virginité.

Souvenez vous, dans les derniers épisodes vous aviez découvert qu'Asthik était rongé par un mal étrange. Il était un double G. C'était un coup du méchant démon Criz et la faute à pas de chance. Comment va-t-il s'en sortir? Que va-t-il se passer? Vous le saurez en découvrant les nouvelles aventures des Vipères. Au programme : du suspense, des transformations, des nouveaux personnages, du sexe et du sang…

Alors n'attendez plus rendez-vous vite dans la section BlogvipereStory, placée sous les commentaires ou cliquez ici

D'une façon très appropriée, le clip « Infinity Guitars » de Sleigh Bells contient chacun des éléments suivants : de doux visages de pom-pom girls, de la fumée, une Alexis qui rôde en agitant une batte de baseball, des lunettes de soleil, des guitares en feu, un pit-bull. Une dissection de leur pop bourre-soufflée en une promenade rituelle qui donne un étonnant collage. Ça ressemble à ce que ça sonne, et finalement, ça sonne plutôt bien.

Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme; c'est pour cela que je vous annonce que l'électrofuckdiscosuicide « Eat your make up and puke it on your friend », n'aura pas lieu samedi 11 septembre, comme prévu au départ, mais se transformera en apéro le vendredi 17 «  Eat your make up and puke it on your friends but not too loud », question d'organisation et de voisin avec un enfant… En attendant, admirez la magnifique illustration de Sexy S…

On se tient au courant les Vipères car si il y en a partant pour faire un peu la teuf ce week end moi je suis dispo et ouvert à toutes propositions ou presque…

1. Manger des cannellonis à 18H.
2. Retrouver un ami expatrié dans un bar sous la lune.
3. Après un verre de vin rouge, faire rejoindre une amie aux cheveux fuchsia, deux homosexuels jeunes et frais et une femme sensuelle.
4. Après un verre de vin rouge, prendre un verre de vin blanc.
5. Changer de lieu.
6. Prendre trois verres de vin rouge et visiter deux fois les toilettes.
7. Changer de lieu et le quitter immédiatement.
8. Passer par chez sois pour prendre une très bonne bouteille de vin.
9. Continuer son chemin jusqu'à trouver une terrasse silencieuse.
10. Discuter, boire, fumer et flirter pendant encore une à deux heures.
11. Rentrer chez soi.
12. Faire chauffer de l'eau claire avec une bonne poignée de sel et un bouillon de poule en cube.
13. Lorsque l'eau arrive à ébullition, y plonger 3 bonnes poignées de pâtes.
14. S'installer confortablement sur un canapé et laisser cuire environ 5 heures.
15. Au réveil, sortir les pâtes du feu et ouvrir toutes les aérations pour dissiper la fumée.

Et voilà ! De délicieuses pâtes au charbon :

En vous souhaitant un bon appétit !

« Acapella » c'est le titre du morceau présage du tournant électronique (voire Dance) de la Diva R'n'B. Pas mauvais, pas franchement fabuleux, le clip aura le mérite d'une jolie esthétique : il y a de l'Avatar, beaucoup de truc ethniques avec de fabuleux maquillages, et même du bondage… que demande le peuple ? Le clip putain !

Alors bandes de Vipères, croyez vous vraiment que rien ne s'est passé dernièrement? Alors que l'été enfin est arrivé, voici un résumé des dernières soirées et des idées pour les prochaines.

A la fin du mois de mai, il y avait un anniversaire. Celui de L. et le dernier que l'on fêterait dans son appartement dont le plafond de la salle de bain avait tendance à chier. Car, oui ! Son plafond faisait caca et il fallait que cela cesse. Alors L. s'en est allée dans la banlieue fraichement construite. Nous l'aimions bien et peut être qu'on ira la voir en vacances…bref, son anniversaire était super et on se souviendra de son jambon fièrement gagné à la soirée moufle d'or (et de son plafond)… Une semaine plus tard, une performance de Fraise Vinyl eut lieu dans un lieu tenu secret. Nous en sommes ressortis tout chamboulé (voir l'article A. au pays des merveilles 3). Le lendemain, nous avons enchaîné avec l'anniversaire d'O.. Le thème était « Transformation » et comme il se doit nous nous sommes transformés en bonne fée des règles, en superman, en spermatozoïde, en arlequin ou encore en loque de fin de soirée… La fin fut chaude comme une première nuit d'été où soudain l'on se rend compte que tout est sensuel, même la sueur sous les aisselles. Et puis tout a continué à se transformer, certains se sont découverts des talents de DJ, d'autres une attirance démesurée pour les lapins et les histoires compliquées avec des gens plus jeunes, certains ont déménagé, d'autres sont revenus de la capitale pour un week-end ou pour l'été. Quand à moi, j'ai rencontré la Prohibida.

et puis, et puis… tant de choses vont encore arriver. A suivre en septembre, une soirée Extrem Makeup…

Deuxième article intitulé de cette manière. Vous allez croire que je n’ai pas d’imagination, ou que je suis mythomane. Mais je crois que j’ai acquis un nouveau SUPERPOUVOIR : celui d’assister à des dévoilements, révélations et autres coming-out (peut-être même que je les provoque ?)

Mais ce n’est pas pour vous parler de moa que j’écris, vipères potinières que vous êtes ! Le sujet de mon article est Sexysperma. Je crois qu’elle a acquis un nouveau SUPERPOUVOIR… C’était le soir de l’anniversaire de S. et A. qui le fêtaient dans la liesse générale. La soirée humide bootyshake au son de reggaeton qu’on a déjà entendu et qu’on entendra sûrement encore. Après une tournée de petits bouchons de zubrowka, l’ivresse est telle que plus personne ne voulait mettre de la musique (exemple: « peux pas, trop bourré »). Les gens commençaient à se calmer, et à se ruer vers les victuailles et l’alcool qui coulait à flot. La piste de dance se vidait. Je me suis alors trainé jusqu’à Sexysperma pour la supplier d’aller pousser quelques MP3 pour que la nuit dure encore un peu. Elle accepte. Et en moins de temps qu’il faut pour le dire elle a rempli la salle de dance qui explose d’amour et de déhanchés. Chaque morceau coïncide complètement avec le précédent et surpasse même les attentes qu’il avait provoquées. Étant moi-même sous l’emprise de cette transe je n’ai pas pu analyser ce phénomène extatique. La musique était-elle chargée d’ondes psychotropes? Sexysperma avait-elle changé de tenue?

Après une dizaine de rappels, elle a décidé de mettre un slow. Elle a alors fumé la dernière cigarette de la soirée en regardant le soleil se lever sur la campagne humide et chaude – comme nous. Les lumières se sont éteintes et il ne restait plus que l’éclairage du soleil encore timide et le halo gris bleu du nuage de fumée enveloppant Sexysperma.

Je crois que nous avons assisté à une mutation de notre super héroïne. Je crains que ce ne soit que le début d’une série de mutations…

Le nouveau petit album « CYRIL » est prévu pour le 21 JUIN 2010 en MP3 ( le jour de la fête des morts du même nom) Le distributeur initial ayant finalement refusé de distribuer le projet à cause d'un titre jugé trop « Zouk », la sortie physique est repoussée au 26 JUILLET 2010, chez un nouveau distributeur .

Il contient 14 titres, dont 1 featuring avec Lady GAGA et Frédéric Mitterrand. Dedans le boîtier il y a un vrai ours.

Il sera vendu avec une barre de chocolat fourré et il n'y aura pas de code barre sur la couverture puisque la FNAC ne sait pas faire si le code barre n'est pas derrière.

Surtout ne faite aucun effort.

A la fin du mois de mai, une performance de Fraise Vinyl eut lieu dans un lieu tenu secret. C'est sous le pont neuf que nous avions rendez-vous, munis d'un parapluie. On nous distribua des fraises rouges et juteuses au bout de grands pics de bois. Douceur qui pouvait piquer pour faire patienter.

Tout à coup un réveil se mit à sonner. Il avançait rapidement en tyrolienne sur un fil, nous montrant ainsi la marche à suivre. Silencieux et dociles nous partîmes vers l'inconnu. Un peu plus loin, il y avait un ouverture dans un mur, des bâches noires faisaient office de portes. Un couloir sombre et glauque, un tunnel où nous attendions serrés les uns contre les autres, impatients, n'osant pas parler. Au bout du tunnel, des lumières firent leur apparition et la pluie se mit à tomber. Nous ne voyions pas grand chose et il fallait attendre notre tour pour pénétrer la pièce mystérieuse cachée par des rideaux de plastique transparents. Nous entrâmes intrigués.

A l'intérieur, des lapins noirs aux têtes géantes et aux corps de femme se tenaient immobiles. Il pleuvait de l'eau lumineuse, tombant en goutte du plafond équipé d'un savant système de tuyaux transparents, écrivant le mot dream. Dans cette forêt de personnages étranges et identiques, un jeune fille jouait de la cithare japonaise, sous un abri de fortune, sa robe trainant au sol jusqu'aux invités. Puis il fallut partir.

Rêve éveillé où il pleut de la lumière. Présences féminines étranges. Lapins Donnie Darkien. Ambiance inquiétante et rassurante. Bruit de pluie et mélodie. Ce fût un voyage au pays des merveilles ténébreuses, à l'arrière goût d'amertume et de beauté triste, dans lequel nous nous sommes lancés en toute confiance et à corps perdu, nous reconnaissant dans les reflets déformés des flaques luminescentes, seuls au milieu de tous.