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Le blog de ceux qui ont assez d'amis pour en dire du mal

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I'm Pissed

Posté dans Musique par Asthik

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Posté dans Musique par Pseudo.me

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Posté dans Musique par Pseudo.me

La saga de l'automne 3

Posté dans Alerte par Herr.ektor

Dans les derniers épisodes, les chants éthérés de Firesperm avait réveillé une jeune fille dans une planète lointaine et vous avez pu, aussi, découvrir le cadeau d'Asthik qui, au début, semblait merveilleux mais qui, finalement, s'est avéré ne pas être aussi merveilleux que ça. De plus L'homoover avait disparu pendant qu'un prince-pas-très-charmant hurlait à tue tête. Bref, il s'en était passé des choses…

Aujourd'hui, comme convenu, vous pourrez lire la suite des aventures qui toucheront bientôt à leur fin. Hé oui, ce sont les avants derniers épisodes que vous allez découvrir (VIII, IX, X et XI), avec de l'action, du suspense, un combat de filles qui restera dans les anales (mais pas celles qu'on préfère), une rencontre, une disparition et des explications peut être … alors remettez vos yeux en place et lisez jusqu'à saigner des orbites !!! ici.

La saga de l'automne 1

Posté dans Alerte par Herr.ektor

Vous en avez rêvé pendant des mois et Herr.Ektor l'a fait !!! Oui vous avez bien compris voici la suite des aventures de nos hyper-héros préférés. Comme c'est l'automne aujourd'hui et que j'affectionne particulièrement cette saison, je vous fais découvrir non pas un, ni deux, mais trois nouveaux épisodes de la saga de l'automne : Les Vipères et la baguette de virginité.

Souvenez vous, dans les derniers épisodes vous aviez découvert qu'Asthik était rongé par un mal étrange. Il était un double G. C'était un coup du méchant démon Criz et la faute à pas de chance. Comment va-t-il s'en sortir? Que va-t-il se passer? Vous le saurez en découvrant les nouvelles aventures des Vipères. Au programme : du suspense, des transformations, des nouveaux personnages, du sexe et du sang…

Alors n'attendez plus rendez-vous vite dans la section BlogvipereStory, placée sous les commentaires ou cliquez ici

Un peu de sport

Posté dans Société par Asthik

Récemment, un certain Firesperm se plaignait du contenu aux tendances homosexuelles de ce blog. Je me joins à sa plainte par cet article résolument « sport ».

Alors oui, les paillettes, le gloss, le superbe et le superflue disco c'est chouette, mais on est pas tous des tapettes géantes et on a parfois envie de boue, d'herbe et de contact viril.

Le sport, c'est un truc d'homme !

Un peu de sport

La mystérieuse soirée de E...

Posté dans Faits divers par Herr.ektor

Aujourd’hui personne n’est sans savoir que E. avait mystérieusement disparu dans la nuit du jeudi 03 Juillet 2008. Que s’est il passé pendant cette soirée pour que E. se réveille à l’hôpital ? De la bouche du principal intéressé, il serait malencontreusement tombé d’un muret… Où ? Quand ? Comment ? Pourquoi ? Etait-ce vraiment un muret ? Autant de questions qui sont restées sans réponses. C’est pourquoi les vipères ce sont réunies afin d’élucider ce mystère. Comme dans « FBI Portés Disparus », la première étape était de reconstituer l’emploi du temps de E. avec les informations que nous avions pu glaner de-ci de-là et en recoupant les témoignages de personnes souhaitant garder l’anonymat. Puis dans un second temps, nous avons émis des hypothèses toutes plus probables les unes que les autres mais qui restent cependant des hypothèses. Voici le résultat de nos tergiversations autour de ce thème.

Jeudi 03 Juillet 2008, 21h30 : V. la colocataire de E. rentre d’une journée éprouvante en émotions. Elle trouve un E. bouffi d’angoisse qui lui lance : « Mais où étais tu ? Bon sang de bordel de merde ! ». Devant un réaction aussi inattendue de la part de E., V. s’est recroquevillée dans un coin sans parler à son colocataire des nouveaux faux cils qu’elle avait piqué à une drag queen de 2m20 pendant les soldes. Enfermée dans son mutisme V. ne se doutait pas encore de la tournure que les événements allait prendre.

Toujours Jeudi mais à 21h42 : E. part à un bal occitan avec son amie révolutionnaire A. . Sur le pas de la porte G. lui dit avec un air de Giscard d’Estaing : « Bonsoir », suivi d’un claquement de langue. Se fût la dernière fois qu’il vit son amant, selon ses déclarations.

Les événements suivants se passent à des heures qui restent indéterminées.

S. un ami de A. , colocataire de E. et petit ami de A. ancienne colocataire de E. , aperçoit E. dans la foule qui borde le Filochard. Nous avons déduit que cela devait être avant 2h du matin.

De source sûre E. déposa son sac à dos aux vestiaires de la célèbre boite à morue toulousaine où E. échoue sa carcasse quand il a trop bu : Le Shangaï. D’après nos estimations nous pensons qu’il devait être plus de 2h du matin.

Samedi 05 Juillet 2008 à au moins 11h du matin : Alors que toutes les vipères étaient mortes d’angoisses et encore bourrées de la veille E. revient à la maison après 24h d’examens médicaux (radios, prises de sang, analyses d’urine et de salive, urétrocystographies et urétroscopies, coloscopies…) subis à l’hôpital de Plouguignac-sur-lèze. C’est avec un œil empourpré, des petites griffures sur le nez et un traumatisme crânien que V. à retrouvé E. au milieu du salon.

Samedi 05 Juillet 2008 à au moins 22h32 du soir : Les vipères purent elles aussi, se rendre compte que quelque chose s’était passé en découvrant E. le poil terni et l’œil torve déclarant ne pas vouloir trop boire à cause de ses fraîches blessures et de son petit corps meurtrit.

Nous n’avons eu le temps de dresser que deux hypothèses, que voici :

  1. G. aurait jeté E. contre un mur, fou de rage pour une raison qui nous échappe.
  2. E. se serait fourvoyé avec un groupe de lesbiennes chinoises ou polonaises dont faisait partie une naine rousse avec un pied bot et l’autre plat, un bec de lièvre mettant bien en lumière ses aphtes chroniques, une paupière tombante et des signes évidents d’une trépanation récente. Ensemble, ils auraient joué à se hisser les uns sur les autres afin de réaliser une pyramide phallique. E. serait tombé de son sommet. Sa chute fût amortie par la naine.

Si vous avez d’autres suggestions, n’hésitez pas à nous en faire part ici. Rappelez vous que chaque détail et témoignage peut être important pour que la vérité jaillisse enfin !

Amen

30 ans de B., ou comment les lesbos ont disparu

Posté dans Vipère party par Asthik

Hier soir c'était le joyeux anniversaire de B. qui entre bien malgré lui dans le second tiers de sa vie, rejoignant quelques autres qui se sentaient seuls et vieux. Soirée très sympathique où les hommes étaient beaux et les filles pas mal. Boisson, cake, gâteau au chocolat. Puis, au fur et à mesure que le sol devenait plus amoureux de nos chaussures, nous jouant quelques tours (j'en ai vu finir dans des portes), tout a basculé.

On prévient toujours, mais c'est inévitable. Il ne faut pas inviter les lesbiennes-babos (ou lesbos), elles sont bien trop pénibles ! O. essayant d'entrainer, et d'étrenner, les jolis gens au son du disco dans une nuée de paillettes en a fait les frais. Despotiques de la playlist, handicapées du double-clic, il était quasiment impossible d'écouter une chanson dans son entier. Pas plus possible que de se déhancher en tout bonheur au son du « Call Me » de Blondie. Que la foule, emportée par le beat, conspue aux coupures brutales n'y changeait rien. Après qu'une dizaine de personnes aie tenté d'éloigner ses harpies de l'objet vital de la soirée (l'ordinateur qui joue la musique), O. décida de prendre les choses en main, comme il aime à le faire, avec toute la délicatesse et la diplomatie qui le caractérise.

« J'espère au moins que tu te rends compte que tu fais chier tout le monde à couper la musique sans arrêt ? À moins que tu fasses tellement de rétention annale qu'il t'es impossible de lâcher le contrôle de cet ordinateur, auquel cas je pourrai compatir. »

O. aurait pu s'en douter : la lesbos accepte difficilement les remarques masculines, même des plus perspicaces. À ce moment précis où la musique est coupée, où les corps en danse terminent leurs mouvements, où les yeux se tournent, cherchant une explication, où tout flotte comme de la bave dans un verre de coca-cola, la lesbos se lève.

Vociférant, elle pousse O. violemment, faisant tomber son serre-tête chevelu qu'il avait mit une heure à confectionner. Et là tout s'enchaine en moins de temps qu'il n'en faut pour dire « sado-maso ».

V., chevalier de chaque instant de O., surgit tel un cabri pour le réceptionner et s'interposer. Les mots fusent. Les gestes volent. Quand tout à coup, comme invoquée du néant, l'alter ego de la lesbos fond sur V., des deux côtés à la fois, dans un espace devenu surréaliste et improbable, et le frappe au visage avec un pilon à cocktails, lui brisant deux dents d'un geste rageur.

La foule se presse.
Des mains en surgissent et les saisissent.
Puis plus rien.
Le confort de bras chauds et humides.
Des caresses dans les cheveux.
Des cris qui s'éloignent au loin.
Une étreinte qui se relâche, rassurée.

Les lesbos ont disparu.

Furie lesbos