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Le blog de ceux qui ont assez d'amis pour en dire du mal

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Auteurs / Asthik asthik

Ta voix au téléphone

Posté dans Musique par Asthik

« Ta voix au téléphone, à deux mille kilomètres, me désarçonne. Ta voix au téléphone, à deux mille kilomètres, éveille ma tristesse. Mes oreilles bourdonnent. Tu avales tous tes mots. Il y a des parasites. C'est comme une vieille radio. Je ne comprends pas la musique. » – Stéréo Total

Flamingo

exterface / flamingo

Our sweet 21th (+10) birthday party - invitation

Posté dans Vipère party par Asthik

L. et O. sont heureux de vous inviter à fêter leurs 21ans (+10), le samedi 7 Juin 2008 à la Roseraie.

Puisqu'ils seront alors majeurs, il y aura du sexe, du rock'n'roll et un twister !

Le thème n'a pas été clairement mis au point, mais il semble que le fluorescent soit dans l'air d'une façon certaine et décalée.

Au plaisir de vous y retrouver, flamboyants et vrombrissants !

doubleBirthday 2008/06

Ça commence par la taille

Posté dans Couple par Asthik

Aperçu hier au soir par W., F. et une charmante jeune fille (15ans selon toute vraisemblance), bras dessus, bras dessous, main sur taille et autres parties, tellement absorbés qu'il ne reconnaissaient rien.

Est-elle catholique ? Est-elle groupie ? Est-elle majeure ? Bien des questions qui restent en suspend comme de la bave dans un verre de coca.

It's a rave Dave

Posté dans Musique par Asthik

It's a rave Dave.
just lots of people in a room spreading love and listening to tunes.
it's a rave Dave.

So what do i have to do then?

Just have a laugh and stand arround, bob your head round, up and down.
Stomp your feet up on the ground, to the kick drum as it sounds throw your hands up in the air, and maybe give a little cheer, go to the bar and get a beer, go speak to that bloke over there, and then my friend will sort you out, cuz thats what raves are all about.

À découvrir de toute urgence !

J'ai souvent la bouche sèche après une fellation

Posté dans Couple par Asthik

Finalement, on ne sera pas amis.

Baisers

Selon toute vraisemblance, rien ne se passe

Posté dans Annonce par Asthik

Pourtant des chats disparaissent, certains les craignent, d'autres sortent avec certains et ne répondent pas au téléphone pendant qu'il y en a qui vieillissent sans rien dire à personne alors qu'un cœur triste écoute Dalida depuis une semaine en oubliant sa sœur qui s'est mariée sans personne. Le weekend dernier avait trop bien commencé pour finir dans la vase, après une semaine d'absence on souhaite des retrouvailles tout en les craignant. Heureusement les vies ne se mélangent pas. Mais pour combien de temps encore ?

Homoséxualité, médias et représentation : Next !

Posté dans TV par Asthik

C'est terrible, mais il y a pire : Saphir 23 ans

« On dit souvent que mon prénom fait penser à une pierre précieuse. Mais attention, pierre précieuse rime avec menthe religieuse. De plus je suis scorpion, qui s'y frotte s'y pique. Moi ce que je recherche ? C'est un mec qui ne m'étouffe pas et qui sache résister à mon venin. Donc si cet homme existe et qu'il est dur comme un roc, je serai gravir sa Tour de Pise. Alors messieurs, vous êtes prêts ? Moi je vous attends. Et vous avez plutôt intérêt à être caliente ».

Nettoyage de printemps

Posté dans Musique par Asthik

Vous n'osez plus sortir ? Votre corps est encombré de gras et de plis disgracieux ? Une seule solution avant que l'été ne soit trop prêt et que vous ne ruiniez vos chances sexuelles : de la bonne dance allemande. Mieux que Véronique et Davina, sculpez-vous un corps de rêve, de poils et de sueur grâce à Ascii Disco et sa bande de gym-toniqueurs ressuscités du Studio 54.

Un mini-short.
Un Marcel.
Redevenez un dieu !

Espagnol pour le pire et le meilleur

Posté dans Musique par Asthik

Après une initiation – lourde de conséquences – par E. à la scène électrofuck espagnole, O. n'en fini plus de s'internationaliser pour le meilleur et pour le pire. En effet, le voici à présent piégé dans la Dance, se prenant même pour Jem et les hologrammes.

On ne le répètera jamais assez : abusez des drogues et surtout du maquillage !

30 ans de B., ou comment les lesbos ont disparu

Posté dans Vipère party par Asthik

Hier soir c'était le joyeux anniversaire de B. qui entre bien malgré lui dans le second tiers de sa vie, rejoignant quelques autres qui se sentaient seuls et vieux. Soirée très sympathique où les hommes étaient beaux et les filles pas mal. Boisson, cake, gâteau au chocolat. Puis, au fur et à mesure que le sol devenait plus amoureux de nos chaussures, nous jouant quelques tours (j'en ai vu finir dans des portes), tout a basculé.

On prévient toujours, mais c'est inévitable. Il ne faut pas inviter les lesbiennes-babos (ou lesbos), elles sont bien trop pénibles ! O. essayant d'entrainer, et d'étrenner, les jolis gens au son du disco dans une nuée de paillettes en a fait les frais. Despotiques de la playlist, handicapées du double-clic, il était quasiment impossible d'écouter une chanson dans son entier. Pas plus possible que de se déhancher en tout bonheur au son du « Call Me » de Blondie. Que la foule, emportée par le beat, conspue aux coupures brutales n'y changeait rien. Après qu'une dizaine de personnes aie tenté d'éloigner ses harpies de l'objet vital de la soirée (l'ordinateur qui joue la musique), O. décida de prendre les choses en main, comme il aime à le faire, avec toute la délicatesse et la diplomatie qui le caractérise.

« J'espère au moins que tu te rends compte que tu fais chier tout le monde à couper la musique sans arrêt ? À moins que tu fasses tellement de rétention annale qu'il t'es impossible de lâcher le contrôle de cet ordinateur, auquel cas je pourrai compatir. »

O. aurait pu s'en douter : la lesbos accepte difficilement les remarques masculines, même des plus perspicaces. À ce moment précis où la musique est coupée, où les corps en danse terminent leurs mouvements, où les yeux se tournent, cherchant une explication, où tout flotte comme de la bave dans un verre de coca-cola, la lesbos se lève.

Vociférant, elle pousse O. violemment, faisant tomber son serre-tête chevelu qu'il avait mit une heure à confectionner. Et là tout s'enchaine en moins de temps qu'il n'en faut pour dire « sado-maso ».

V., chevalier de chaque instant de O., surgit tel un cabri pour le réceptionner et s'interposer. Les mots fusent. Les gestes volent. Quand tout à coup, comme invoquée du néant, l'alter ego de la lesbos fond sur V., des deux côtés à la fois, dans un espace devenu surréaliste et improbable, et le frappe au visage avec un pilon à cocktails, lui brisant deux dents d'un geste rageur.

La foule se presse.
Des mains en surgissent et les saisissent.
Puis plus rien.
Le confort de bras chauds et humides.
Des caresses dans les cheveux.
Des cris qui s'éloignent au loin.
Une étreinte qui se relâche, rassurée.

Les lesbos ont disparu.

Furie lesbos