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Le blog de ceux qui ont assez d'amis pour en dire du mal

Articles du mois

light asylum #2

Posté dans Musique par Pseudo.me

The Aikiu - Pieces Of Gold

Posté dans Musique par Asthik

SSION - Earthquake

Posté dans Musique par Asthik

you have to say YES to another XS...

Posté dans Souvenir par Pseudo.me

Fête de la musique

Après notre participation au Live in En Jacca samedi dernier, venez vous prendre des paillettes et de la musique plein la gueule, jeudi de 19h à 21h à l'épisode !

Oui oui c'est une mini électrofuckdiscosuicideparty !

light asylum

Posté dans Musique par Pseudo.me

Lady Dandy

Posté dans Musique par Herr.ektor

Aujourd'hui notre Lady Dandy, Madmoizel, sort un nouvel EP de 8 titres tous autant fabuleux les uns que les autres, et nous l'attendions avec impatience après son premier EP Dame de France.

Pour ceux qui ne la connaissent pas encore, Madmoizel c'est un univers tinté par le meilleur des années 80 avec claps et synthés, une voix qui s'envole comme une Diva punk, qui se superpose, explose, s'expose aux modifications électroniques à coup de reverbs et de delays. Sur scène, c'est une présence énergique derrière ses claviers, femme dandy hybride avec ses machines, elle sait nous transporter d'un monde l'autre, tour à tour freak de la nuit, amante déniée, dandy désabusé, lyrique électrique, amours froides et cœurs chauds.

Quand j'écoute la musique de Madmoizel, je m'envole, traverse des plaines lunaires balayées par un vent d'amour, redescend sur terre et me retrouve en train de danser dans mon salon, seul, mais bien accompagné par sa musique.

Il y a tant de choses à dire mais il reste une chose à faire : Allez écouter son nouvel EP et l'acheter ! voici le lien avec son Bandcamp Madmoizel Bandcamp

clin d'oeil

Posté dans Annonce par Herr.ektor

Aujourd'hui c'est l'anniversaire de O. et comme il est plein d'amour, une petit chanson d'Elli & Jacno s'impose !!!

Vie nocturne queer à Montréal. Rapport #1

Posté dans Fêtes familliales par Seliba

Ayant découvert la page d'une géographe qui répertorie les lieux et événements queers de Montréal, je me suis décidé à faire le travail pour lequel j'ai été dépêché par ma bande de vipères.

J'ai commencé par Sleep is for the weak, une soirée qui annonce des shameful hits dans un bar lesbien du Mile end (le quartier branché anglophone assez central)le Royal Phoenix. La soirée commençait à 22h et terminait à 3h. Je me suis donc pointé, à la parisienne, à minuit et demi. Après le travail je me suis dirigé vers le bar et franchement, je sais pas si c'est culturel, mais j'ai pas trop kiffé les shameful hits porposés par les DJ's. Et l'accueil a été plus que froid : bien que le bar était plus vide que plein, j'ai eu beaucoup de mal à me faire servir et les gens n'était pas très accueillants (en fait on aurait dit un bar de modasses très Paris carte postale).

La prochaine fois je ne sortirai pas sans mon passeport de la République de Gouinie.

Je me suis pas dégonflé mais j'ai attendu les renforts pour me relancer dans la jungle queer montréalaise. T. et L. sont arrivés la semaine du 17 pour le festival de théâtre anarchiste. Nous avons été à la soirée Pompe au Coop Catacombe qui a été ma meilleure et ma pire soirée. Ayant trouvé des stupéfiants biologiques assez forts, nous sommes arrivés euphoriques dans une salle vide au centre de laquelle se trouvait une colonne de crânes. J'ai approché un jeune et beau québecois qui fabrique des bijoux avec des plumes, mais j'ai perdu contact avec lui en prenant un autre produit (légal cette fois) : de la bière. Comme un jeune adolescent je n'ai pas bien géré le mélange et ça m'a fait comme si Fraisevynil, le catalyseur de soirée s'en était pris à moi. Non, je n'ai pas été malade, mais je n'arrivais pas à communiquer avec d'autres personnes que T et L et je n'arrivais pas à arrêter de danser. J'ai bien tenté un contact avec un collègue de boulot anglophone – oui, je parle anglais – mais il avait pas l'air très réceptif. La musique tabassait et je regrette qu'il n'y ait pas eu une ou deux vipères pour m'accompagner dans la danse. Mais défoncé comme je l'étais, j'ai quand même dansé comme un fou jusqu'à ce qu'ils coupent la musique. Nous avons aussi joui d'un show de MSTR SSTR : perruque blonde, veste en sky, vulgarité assumée, chansons, c'était parfait ! Je suis rentré chez moi avec une casquette noire et rose et un numéro de téléphone, mais je me rappelle pas à qui ils appartenaient…

J'y retournerai…