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The Dead Weather: The Kills vs The white Stripes
Voilà dans ce clip une belle métaphore des relations de couple…
Un weekend au bord de l'autoroute
Bonjour chers amis,
pour ceux qui sont resté sur Toulouse et que l'ennui guette au fur et à mesure de l'avancée de l'été qui transforme notre bonne vieille ville rose en un endroit morose, nous vous convions à un « weekend au bord de l'autoroute » entre amis, on passera des films, on écoutera de la musique, on boira, on mangera, on prendra des photos réussies ou pas, on se baignera et peut être même que certains feront l'amour ou se feront piquer par un moustique en pleine nuit?
Vous devrez vous équiper d'une tente et/ou un duvet et de votre playlist préférée (1/2 heure ou plus si vraiment çà suffit pas) en format mp3 et à amener sur place (sur clef USB) ou à transmettre à Olivier ou Fabien avant cette date. Pour le reste on s'en occupe on vous demandera juste une participation de 10 euros à donner également à l'un des deux organisateurs dans les 2 semaines qui arrivent (çà va servir pour la bouffe, la boisson et la location du vidéoprojecteur + écran).
En ce qui concerne le transport, on demande à chaque invité qui a une voiture disponible de se signaler afin d'amener ceux qui n'en ont pas…
On vous promet un weekend où vous ne regretterez pas de faire parti de nos amis!
Firesperm & Asthik
Alex au pays des merveilles (2)
Nous étions nombreux à avoir répondu présent à l’appel de la secrète Fraise Vinyl qui avait été relayé sur ce blog, suffisamment pour remplir un bus d’une quarantaine de places. Tels des élus, nous étions fiers, nos parapluies à la main, de participer à cet appel mystérieux et attractif comme un chant de sirènes dans lequel nous avions toute confiance et qui pourtant aurait pu nous mener de Charybde en Scylla. La destination ne serait pas celle-là et nous en étions sûrs. C’est donc plein de doutes et de certitudes que nous nous sommes rendus au lieu-dit et à l’heure dite pour commencer le voyage. Un bus nous attendait et deux jeunes femmes encadraient les portes d’entrée grimées en hôtesses de l’air. Après un rapide check-in, les passagers purent embarquer pour l’inconnu. Les hôtesses jouèrent leur rôle en indiquant règles et consignes de sécurité à suivre pendant le trajet. Une feuille de papier, avec des symboles inconnus au premier abord, fût remise à chaque participant et tous furent priés d’écrire un mot et de plier le papier comme il le convenait jusqu’à l’obtention d’un petit bateau. Toutes ces embarcations fragiles furent récupérées par les hôtesses à notre sortie du bus.
Arrivé à destination. Petit jardin à traverser avant d’entrer dans le vif du sujet. Sur le qui-vive, nous pénétrâmes une grande bâtisse aux allures de château. Les discussions se firent discrètes.
Au bout du couloir sombre, une première fille muette se tenait debout, une lampe de poche à la main, faisant glisser la lumière sur son corps habillé de vêtements baroques. Le ton était donné.
Une première salle, lumière crue, deux filles, l’une debout le regard perdu, chérissant un canard et l’autre prisonnière d’une bulle de plastique transparent, cherchant une sortie, déchirant l’enveloppe pour respirer. Femme prisonnière, femme corsetée, belle étouffée qui cherche sa liberté.
Deuxième salle, éclairage tamisé. Deux filles nues le corps recouvert de paillettes, lascives sur une table. Entourées de verres pleins d’une mixture crémeuse à la fraise, elles s’embrassaient langoureusement et ne s’arrêtaient de se lover que pour distribuer les verres aux invités, voyeurs interdits de leur intimité. Une chanteuse lyrique distillait une mélopée enveloppante de douceur tandis que les nymphes continuaient leurs tendres faveurs et le public goûtait avec ferveur aux douceurs sucrées qui lui étaient servies dans les verres. Femmes libérées, serviles et assumées.
Troisième salle, une véranda pleine de ballons blancs, une femme dans une cage de plastique admirant les petits bateaux de papier blanc suspendus, que nous avions pliés dans le bus et nous échouons dans un jardin accompagnés d’une mer de ballon. Femme esthétique passive ou pensive, muette délibérée ou désespérée.
Une fois rassemblé dans le jardin, le public fût invité en entrée à écouter un petit concert lyrique et à se rafraîchir d’une sucette en forme de cœur au gingembre et au piment d’Espelette. Un peu plus loin quatre filles nous attendaient sagement assises sur des balançoires accrochées à des arbres majestueux. A la main, elles tenaient un arrosoir et distillaient à qui le voulait de l’eau agrémentée de sirop aux goûts différents. C’est là que les parapluies étaient utiles.
Nous avons pu ensuite nous vautrer sur des coussins et couvertures disposés dans l’herbe et assister en plat principal à un concert excellent de Fragile Architecture associé à un velouté d’asperge et sa noix de Saint-Jacques puis en dessert un mix original de Dark Side of the Funk accompagné d’une banane au chocolat et d’une délicieuse mousse au gingembre.
Puis il fût l’heure de partir, le bus nous attendait. Retour à Toulouse avec un goût amer, dégrisés comme après une petite mort.
Alors MERCI Fraise Vinyl pour ce voyage allégorique au coeur d’un appareil (re)productif féminin : au départ les ovaires dont quelque chose veut sortir puis l’utérus où l’amour se fixe, enfin le vagin et l’accouchement de la vie qui poursuit son cours au jardin des délices et de l’envie.
Encore une fois nous fûmes transportés dans un univers au goût de rêve et de fantasme où des naïades nous servent de nourriture esthétique. Étrange sensation, comme l’impression d’avoir croqué dans une fraise au vinyle, d’avoir basculé comme Alice dans un pays de merveilles, dans un rêve éveillé, d’avoir pris du LSD, de pénétrer l’inconscient d’une artiste passionnée.
Christoph Martin Schmid
Bon, ça manque de culture par ici (et de crousti surtout bande de petites Mariah Carey !!) voici pour vos yeux et vos cerveaux :
Ça vous à plu ? Visitez le site de Christoph Martin Schmid !
XXYZ 2009: 5ième et dernière édition
Chères vipères,
N'ayant vu aucune d'entre vous au fabuleux évènement (le plus attendu de l'année après la fetish yourself et la discosuicideelectrofuckparty) qu'est le festival de films transpédégouine DIY (do it yourself), je me permets de vous transmettre ce lien pour que vous preniez (perdiez?) connaissance de son déroulement.
http://profile.myspace.com/index.cfm?fuseaction=user.viewprofile&friendid=138157687
Si vous vous fichez des putes (thème de ce soir) venez au moins assister à la projection des films musicaux aux musicophages vendredi soir (vous pourrez y visionner les clips de Miche L et Moche T et d'Odile et Vilaine d'Ille et Vilaine).
A très bientôt
17 février 2009 : rouge
Parce que je n'ai pas assuré cette année mais que je voudrais que celui de l'année prochaine soit génial, je présente au Blog Vipère le 17 février
Concept de fête sans concept, crée il y a quelques années à Bruxelles par une bande de copains aux cœurs purs, ayant pour seul but de fêter et de s'aimer au delà des dogmes et des frontières.
Cette année, le 17 tombant un mardi et compte tenu de l'épée de Damoclès géante qui pèsent sur le lieu Toulousain à la mode que vous connaissez tous, nous sommes allé dans la rue avec les plus braves.
Le thème de 2009 était « rouge », je vous laisse regarder les photos que nous avons prises et qui sont sur picasa
RDV le 29.01.2009
Oyé oyé braves petites Maria Carrey
Notre A. préférée va se mettre en scène (elle ne sera peut être pas seule), le 29 janvier 2009 dans un appartement toulousain et performer de façon privé pour les gens qui répondront présent à son appel que je vous retransmet ici :
« Je t'invite à une performance privée, le Jeudi 29 Janvier, à 20h ( si je dis 20h, c'est 20h, pas de place au quart d'heure Toulousain!) dans un appartement prés des Beaux Arts.
Cela est sans prétention mais juste l'envie de partager mon univers…. pour créer un espace temps coupé du monde afin de laisser place au rêve… et passer un bon moment, je l'espère!
cela peu paraitre naïf mais attention ce peut être piquant!!!
Si cela te dit présente toi à l'interphone du 3 rue Peyrolière à Toulouse (métro Esquirol), là où tu verra un symbole, il te suffira de presser le bouton et de dire « lapin ». Tu passeras la grande porte de bois électrique, et tu te dirigeras vers la tour, au fond de la cour pavée, légèrement sur la droite, et tu monteras jusqu'à la premiere porte qui se trouvera elle aussi sur la droite. Tu pousseras le locquet, tu l'entrouvriras pour passer….puis, je ne vais pas plus loin dans mon histoire…
Tu peux venir accompagné le tout et de dire « lapin » un point c'est tout! »
Voilà maintenant vous êtes tous au courant et surtout arrivez à l'heure…alors à bon entendeur…