Impossible d'échapper à l'amour de Peaches dans cette collaboration complètement funk !
Attention, cette vidéo peut provoquer des envies de lasagne.
Impossible d'échapper à l'amour de Peaches dans cette collaboration complètement funk !
Attention, cette vidéo peut provoquer des envies de lasagne.
« Grum » est le nom de lumière de Graeme Shepherd, un artiste écossai. Il sort son premier album « Heartbeats » en 2010, inspiré du disco des années 80, qui restera malheureusement dans la confidence. « Though The Night » est le deuxième extrait de l'album que bénéficia d'une mise en vidéo. Le clip, tourné à Los Angeles, raconte la nuit difficile d'un flic qui fonce au volant de sa voiture retrouver son partenaire entre la vie et la mort dans un hôpital. Au cours du trajet, alors qu'il essuie les lourdes larmes qui glissent sur ses joues, les souvenirs des moments partagés avec son collègue lui viennent, nombreux et touchants, et l'on découvre avec plaisir et sourire la nature de leur relation.
www.youtube.com/watch?v=Ws5rz3-AvBU
Vous en voulez encore ? Voici le making-off !
Prend ma main, j'ai si peur. Je t'en supplie, prie pour moi quand je serai parti. Rassure la petite. Aide-la à comprendre qu'aucun de ses souvenirs, même les plus tristes, et qu'aucune forme de violence, même la plus affreuse, ne peuvent assombrir un cœur, ou le briser.
Prend ma main quand tu as peur et je prierai pour toi. Si tu y retournes, rassure le petit. Aide-le à comprendre qu'aucun drap qui bouge, même le plus effrayant, et qu'aucun secret, même le plus terrible, ne peuvent empoisonner sa voix, ou le priver de bonheur.
Vous connaissez Igor Dewe ? Si si, vous le connaissez au moins parce qu'il fait partie du collectif génial House of Drama, dont nous avions déjà parler ici pour leur vidéo hommage à Pierre Molinier. Mais Igor Dewe ne fait pas que ça, il performe, fabrique des chaussures folles que vous pouvez admirer sur son site ou sur son tumblr et dernièrement nous a concocté une petite chanson qui parle de sexe dont vous pouvez visionner le clip ci dessous. C'est frai comme une brise d'été, ça donne le sourire, envie de danser et de baiser. Enjoy !
S'il suffisait d'un peu de whisky ça se saurait…
Blague à part, Steve Grand pourrait bien être un des premiers artistes de country ouvertement gay. C'est pas ce qui se fait de mieux en country, mais le texte est beau et la musique efficace. Le fait qu'il soit tout mignon aide aussi. Sa chanson est en écoute sur Bandcamp.
Il n'a pas de maison de disque et ça n'a pas commencé facilement, avec ses parents qui l'on forcé à suivre une thérapie de réorientation sexuelle. Il est touchant ce petit, et je lui souhaite bien du bonheur.
Il y 'a quelques années, au hasard des internets, qui fût ma foi bien heureux, je surfais de pages en pages et de liens en liens, hagard et en même temps émerveillé et sans savoir comment, j'étais arrivé sur le site des King's Queer. Une de leur chanson me marqua alors à jamais. Je l'ai téléchargée immédiatement, faut dire qu'elle était en téléchargement libre aussi, parce que les King's Queer sont généreux et ça fait du bien, cette chanson c'était « Mon trou du cul est révolutionnaire » et ça tombait bien pour quelqu'un comme moi qui adore les révolutions…
En octobre 2012, le hasard toujours heureux, je me rendis compte que les King's Queer passaient dans notre ville rose. Nous nous précipitâmes alors à leur concert et ce fût un moment fabuleux !!! À la fin de leur performance nous étions ivre de bière mais surtout ivre de vie, d'amours et de révoltes et de toute cette énergie insoumise qu'ils nous avaient transmise. J'avais oublié mon carnet de notes avec mes questions idiotes pour réaliser une no interview sur les trottoirs du quartier Arnaud Bernard, mais nous avions pu discuter, chiffons (la robe-tube de Laet est tellement intrigante), musique et connaissances communes (et nous en avons quelques unes à Besançon) avec les deux membres des King's Queer devant Chez Ta Mère. J'ai regretté après de ne pas avoir fait cette No-interview à cet instant mais j'en avais profité pleinement et c'est le principal. Les chemins se lient et se délient, la vie passe et repasse les cols de chemises mais les énergies qui plaisent se retrouvent toujours.
Les King's Queer sont des Amours et des Révoltes mais pas que… c'est aussi le projet « King's Queer Art Collection » qui réuni 30 artistes (Jean-Luc Verna, Jérôme Mesnager, Kiki Picasso, Loulou Picasso, Caroline Vitelli, Olivia Clavel, Kim Prisu, Pierre Terrasson, Philippe Lagautrière, Sara Chelou…etc) autour de 30 illustrations de pochettes du vinyle « Amours et révoltes » du binôme King's Queer. Peintres, photographes, graphistes, colleurs… des œuvres originales qui vont de la Figuration Libre au Street Art en passant par l'Art Contemporain, c'est une exposition unique en son genre. Bref, un projet qui déboîte !!! Vous trouverez plus d'informations et d'explications à la fin de la No-interview ci-dessous, car leurs explications sont les meilleures ;)
Pour cette No-Interview, nous avons du innover. Le principe des No-Interviews, c'est de boire avec les artistes et poser des questions absurdes ayant été préalablement préparées en buvant. Ne pouvant boire ensemble, par conséquent, nous avons demandé aux King's Queer de se munir d'un verre ou d'une bouteille d'alcool qu'ils apprécient particulièrement et quand l'ivresse commencerait à leur saisir les neurones de répondre aux questions le plus spontanément possible, et voilà le résultat.
Ahhh ce cher inconnu !
C'est désaltérant
Cuir pour le canapé, latex pour le chat et vinyle pour les disques !
L'héroine du velvet underground
On n'en a pas
une mirabelle de 1984 fait home !
Le fruit d'Eve fendu (Jean Cocteau)
Quand la merde deviendra de l'or, le cul des pauvres ne leur appartiendra plus (Henry Miller)
Si le mot cul est dans une phrase, le public, si belle fût-elle, n'entendra que ce mot (Jules Renard)
sinon….Paul Verlaine en parle beaucoup mieux que nous dans son « Sonnet du Trou du Cul » :
Obscur et froncé comme un oeillet violet
Il respire, humblement tapi parmi la mousse
Humide encor d'amour qui suit la pente douce
Des fesses blanches jusqu'au bord de son ourlet.
Des filaments pareils à des larmes de lait
Ont pleuré, sous l'autan cruel qui les repousse,
À travers de petits caillots de marne rousse,
Pour s'en aller où la pente les appelait.
Ma bouche s'accoupla souvent à sa ventouse ;
Mon âme, du coït matériel jalouse,
En fit son larmier fauve et son nid de sanglots.
C'est l'olive pâmée, et la flûte câline ;
C'est le tube où descend la céleste praline :
Chanaan féminin dans les moiteurs éclos !
Et surtout : « Safe Sex Is Not Dead » !
Le chat, le nôtre seulement !
Hé bien, pour commencer il faut savoir que nous quand on entend paille, on aurait plutôt tendance à penser cocktail sur la plage sous un palmier (oui, on sait, on a besoin de vacances!).
Et quand on entend poutre, on pense, éco-construction, Notre Dame Des Landes (oui on sait y'a pas de vacances pour la politiques)
Mais si l'on réfléchit à cette merveilleuse parabole de JC rapportée dans les Evangiles selon Saint Luc 6. 41-42 et St Mathieu 7. 3-5 (ouais ce sont nos copains de la manif pour tous qui nous ont parlé de ça autour des petits gâteaux dimanche dernier), l'on peut relever que ce que JC essaie de nous dire, c'est que juger c'est mal. Et comme disait un vieux copain punk « on est c'qu'on est, c'qu'on veut, on le fait, ta vie c'est la tienne, prends la en main et à la tienne ! »
Bien, nous arrivons bientôt à la fin alors il est temps de faire le point.
(bonne) musique, lapins nains, punks à chat, fête, lutte contre l’ignorance, Commandant Cousteau, auto-tamponneuse, résistance, grasses matinées, vacances,…
Bien on va redevenir plus sérieux…
On a lancé un nouveau projet qui s'appelle le king's queer art collection, pour lequel on a demandé à 30 artistes d'horizons différents tels que le street art, la figuration libre, la peinture, l'art contemporain… de nous faire une pochette de notre vinyle « Amours et Révoltes ».
La plupart de ceux à qui l'on a demandé ont accepté et c'est comme ça que l'on se retrouve avec des pochettes signées Jean Luc Verna, Speedy Graphito, Olivia Clavel, Kiki Picasso, Kim Prisu, Jérôme Mesnager, etc…
Nous partons donc dès septembre en exposition dans différents lieux (Institut Supérieur des Beaux Arts de Besançon avec qui l'on est partenaires, Galerie Duffay Bonnet à Paris,…). Mais ça ne sera pas de simples expositions, ce sera des « FreeArt Party » pendant lesquelles il y aura bien sûr l'exposition des pochettes mais aussi, une conférence de Pierre Mikaïloff sur l'histoire de la pochette de disque dans le rock n roll, un show case de King's Queer (parfois avec des guests), des performances d'artistes qui participent au projet, etc. Sans oublier notre autre partenaire « La tête dans l'artiste ».
L'idée étant de se réapproprier les lieux d'art pour en faire des lieux de fête !
Pour plus d'infos sur le sujet, le site où tout est expliqué : ici
Merci pour votre participation on vous fait des bisous où vous voulez même dans des endroits sales.
Merci à vous pour ce moment d'absurde comme on les aime ! On vous embrasse aussi mais uniquement où ça sent bon ! Amours & Révoltes !