Sur une idée originale de Miche L. & Moche T. Pompée sans complexe sur Odile & Vilaine (parce que nous c'est mieux). Montée avec brio (mais pas de la façon qu'il préfère) par Gofromiel. Une nouvelle aventure de Miche L. & Moche T. : Joue pas !
Sur une idée originale de Miche L. & Moche T. Pompée sans complexe sur Odile & Vilaine (parce que nous c'est mieux). Montée avec brio (mais pas de la façon qu'il préfère) par Gofromiel. Une nouvelle aventure de Miche L. & Moche T. : Joue pas !
« Je veux bien souffrir, mais je veux baiser aussi. »
Selon toute vraisemblance rien ne se passe. Les vipères sont des peluches Ikea. Alors que seuls les hétéros se déguisent et qu'il fait chaud, les amitiés sont à l'épreuve. Des lesbiennes boivent du vin et trouvent certains ambigus. Cherchant un chéquier avec un sandwich à la main certaines donnent confiance, et pendant que certains sucent, d'autres s'essaient aux câlins et -confus- rentrent chez eux laissant un vélouz au loin roulant vers de nouvelles déceptions. Certains ne regrettent pas mais ont des remords, à vouloir plus pour tout perdre – peut-être.
Les nuits sont courtes quand on fait les dernières soldes.
La vie c'est pas les fleurs et les petits papillons.
En 2003 O. avait 24 ans et il rencontrait R. au café populaire. Attiré par sa lumière et sa chaleur, O. fît son possible le lendemain pour obtenir sa position afin de poursuivre sur sa peau.
Ce soir là, attendant informations et confirmation de la part de Y., O. découvrît Feist, et sa reprise des plus entrainante de Love You Inside Out. Un message :
Plus tard dans la soirée, après que les amis de R. se soient gentiment éclipsés de l'intimité de son appartement, O. découvrît l'homme : son poil, sa douceur, ses lèvres et son voisin qui tapa alors qu'O. découvrait son lobe.
O. rentra le cœur joyeux ce matin là, ayant prit soin de noter le numéro de téléphone de R., sur quelque chose qu'il ne risquerait pas de jeter.
En plein cartons pour cause de déménagement on se prend de nostalgie à la redécouverte de choses et de mots. Un petit tribut à toi ma S. de love et à nos années de merveilleuse amitié, même si des fois on est un peu loin.
« Petit Fennec Marbré
Velu en hivers, tondu en été
Tu batifoles dans l'herbe haute
tu roule-boule sur toutes les mottes
Et quand tu te mires dans la
flaque de la cascade asséchée
Tu réalise ta vraie identité
Sur tes deux puissantes jambes tu te tiens
Ton corps de muscles est constitué
Tu es un homme petit salaud » – S.
« Je vis une vie magique dans un écran cathodique. Dans un monde coloré, je me prends à rêver. Stop. Vivre sur vidéo. Les circuits intégrés. Sur un faisceau de lumière. C'est une vie fantastique. Un monde de lumières magnétiques. Au milieu des données, je voudrai me programmer. » – Trans-X
Merci à P. pour ses compilations qui m'ont rafraichi l'œil sur les années 80.
Je suis tombé amoureux d'un homme mauvais.
Depuis que je t'ai rencontré je suis triste.
Un oiseau dans la cage de ta musique.
Un criminel dans tes prières.
Je te regarde dormir, même quand tu n'est pas là.
Les couleurs délavées de l'arc-en-ciel jonchaient les rues quand tu es parti.
Peut-être qu'un jour on se retrouvera.
Un grand merci chaleureux et humide à vous, gens merveilleux, venus fêter les 21ans (+10) de L. et O.. Merci pour cette nouvelle soirée joyeuse de disco, de rires, de danse, de friction, et de pelles.
Une pensée émue pour F., qui découvre qu'il plait et enchaine les conquêtes avec toute la fougue de sa jeunesse, ainsi qu'à tous ceux absents qui nous manquent quand même.
Je vous laisse à la découverte de l'album de cette soirée décidément fluo.
« Ta voix au téléphone, à deux mille kilomètres, me désarçonne. Ta voix au téléphone, à deux mille kilomètres, éveille ma tristesse. Mes oreilles bourdonnent. Tu avales tous tes mots. Il y a des parasites. C'est comme une vieille radio. Je ne comprends pas la musique. » – Stéréo Total