La vie c'est pas les fleurs et les petits papillons.
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La mystérieuse soirée de E...
Aujourd’hui personne n’est sans savoir que E. avait mystérieusement disparu dans la nuit du jeudi 03 Juillet 2008. Que s’est il passé pendant cette soirée pour que E. se réveille à l’hôpital ? De la bouche du principal intéressé, il serait malencontreusement tombé d’un muret… Où ? Quand ? Comment ? Pourquoi ? Etait-ce vraiment un muret ? Autant de questions qui sont restées sans réponses. C’est pourquoi les vipères ce sont réunies afin d’élucider ce mystère. Comme dans « FBI Portés Disparus », la première étape était de reconstituer l’emploi du temps de E. avec les informations que nous avions pu glaner de-ci de-là et en recoupant les témoignages de personnes souhaitant garder l’anonymat. Puis dans un second temps, nous avons émis des hypothèses toutes plus probables les unes que les autres mais qui restent cependant des hypothèses. Voici le résultat de nos tergiversations autour de ce thème.
Jeudi 03 Juillet 2008, 21h30 : V. la colocataire de E. rentre d’une journée éprouvante en émotions. Elle trouve un E. bouffi d’angoisse qui lui lance : « Mais où étais tu ? Bon sang de bordel de merde ! ». Devant un réaction aussi inattendue de la part de E., V. s’est recroquevillée dans un coin sans parler à son colocataire des nouveaux faux cils qu’elle avait piqué à une drag queen de 2m20 pendant les soldes. Enfermée dans son mutisme V. ne se doutait pas encore de la tournure que les événements allait prendre.
Toujours Jeudi mais à 21h42 : E. part à un bal occitan avec son amie révolutionnaire A. . Sur le pas de la porte G. lui dit avec un air de Giscard d’Estaing : « Bonsoir », suivi d’un claquement de langue. Se fût la dernière fois qu’il vit son amant, selon ses déclarations.
Les événements suivants se passent à des heures qui restent indéterminées.
S. un ami de A. , colocataire de E. et petit ami de A. ancienne colocataire de E. , aperçoit E. dans la foule qui borde le Filochard. Nous avons déduit que cela devait être avant 2h du matin.
De source sûre E. déposa son sac à dos aux vestiaires de la célèbre boite à morue toulousaine où E. échoue sa carcasse quand il a trop bu : Le Shangaï. D’après nos estimations nous pensons qu’il devait être plus de 2h du matin.
Samedi 05 Juillet 2008 à au moins 11h du matin : Alors que toutes les vipères étaient mortes d’angoisses et encore bourrées de la veille E. revient à la maison après 24h d’examens médicaux (radios, prises de sang, analyses d’urine et de salive, urétrocystographies et urétroscopies, coloscopies…) subis à l’hôpital de Plouguignac-sur-lèze. C’est avec un œil empourpré, des petites griffures sur le nez et un traumatisme crânien que V. à retrouvé E. au milieu du salon.
Samedi 05 Juillet 2008 à au moins 22h32 du soir : Les vipères purent elles aussi, se rendre compte que quelque chose s’était passé en découvrant E. le poil terni et l’œil torve déclarant ne pas vouloir trop boire à cause de ses fraîches blessures et de son petit corps meurtrit.
Nous n’avons eu le temps de dresser que deux hypothèses, que voici :
- G. aurait jeté E. contre un mur, fou de rage pour une raison qui nous échappe.
- E. se serait fourvoyé avec un groupe de lesbiennes chinoises ou polonaises dont faisait partie une naine rousse avec un pied bot et l’autre plat, un bec de lièvre mettant bien en lumière ses aphtes chroniques, une paupière tombante et des signes évidents d’une trépanation récente. Ensemble, ils auraient joué à se hisser les uns sur les autres afin de réaliser une pyramide phallique. E. serait tombé de son sommet. Sa chute fût amortie par la naine.
Si vous avez d’autres suggestions, n’hésitez pas à nous en faire part ici. Rappelez vous que chaque détail et témoignage peut être important pour que la vérité jaillisse enfin !
Amen
J'ai souvent la bouche sèche après une fellation
Finalement, on ne sera pas amis.
L'amour ratatine les neurones !
Chers viperois, un petit article afin de rebondir sur celui faisant l'apologie du célibat. Je me permet de rajouter que l'amour ratatine les neurones, oui vous avez bien lu et preuve à l'appuie je vais vous en faire la démonstration…
Prenez A. qui dans l'autre hémisphère n'a rien trouvé de mieux que de se maquer avec un petit frenchy alors qu'elle pourrait séduire de l'autochtone à n'en plus savoir que faire ! De plus là bas il fait beau et chaud et donc le climat est propice au papillonnage qui je vous le rappelle était l'une de ces activités favorite lorsque elle nous fréquentait encore et qu'elle n'avait pas perdue le tête.
Passons à R. et J. qui depuis le début de leur relation ne cessent de se séparer (physiquement pas amoureusement !), action ayant pour conséquence de nous laisser entre les pattes un R. mi-déprimé mi-fauché (par trop de téléphone usité), et un J. mi-épanoui mi-névrosé par ses déplacements semi-estudiantin prétextes à se téléphoner pour se dire que oui ils se manquent oui ils s'aiment oui c'est dur la séparation… comme s'ils ne se rendaient pas compte de tout ça l'un en face de l'autre !
D. maintenant qui était un ami fidèle toujours prêt à embrayer sur une fête quelconque et qui maintenant s'il daigne répondre au téléphone un vendredi soir, nous accable d'un « non là c'est pas possible on regarde la télé (traduire star ac) en se papouillant, mais appelle demain on verra ».
Affligeant…
Heureusement, certains se sacrifient afin de garder un brin de dignité au sein du groupe et restent célibataires malgré les multiples propositions, déclarations et autres supplications amoureuses.
Invitation et gravité
« Tu réalises que si tu viens c'est uniquement parce que tu as été pris dans le champ gravitationnel de mon invitation ?! En fait, j'ai été tellement invité que ça a invité tout ce qu'il y avait autour »
à Roger