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Le blog de ceux qui ont assez d'amis pour en dire du mal

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Étiquettes / Rencontre

Thème 2010

Posté dans Annonce par Sexysperma

Après « 2008-Paillettes » et « 2009-Rencontres » nous cherchons le thème pour l'année 2010. Voici quelques propositions, votez pour celle qui vous plaît ou proposez si vous avez une idée :

  • 2010 année cul-te
  • 2010 année étoilée
  • 2010 année des délices
  • 2010 Aventures
  • 2010 très or!

Le point R. : A., un samedi

Posté dans Le point par Asthik

« Ce cocktail aurait été créé en 1948 par une américaine Margaret Sames dite Margarita à Acapulco, et porte comme nom la traduction du prénom de son inventeur. »

Le point R. : S., un samedi

Posté dans Le point par Asthik

Comme il avait envie de pisser, nous sommes allé au TNT.

Je l'attendais sur un tabouret enveloppé de lumières tamisées, dans un désert de tables, de chaises et de lampes. J'humidifiais mes lèvres au rythme de mon cœur qui s'emballait. Il sorti des toilettes et alors qu'il se penchait pour ramasser la poche contenant le cadeau pour sa mère, je le saisis par la ceinture pour l'entrainer entre mes jambes, contre mes lèvres. Il était doux et excitant comme une première fois. Pourtant, pas besoin d'ajustements, nos langues firent connaissance comme rarement.

Alors que je caressais son dos, quelques doigts coincés par l'élastique de son caleçon, il me dit que je lui avais tendu un piège et que maintenant il bandait. Il se pencha à nouveau pour ramasser le cadeau pour sa mère, frôlant de sa main mon jean au point le plus tendu, dans un mouvement lent et contrôlé, comme pour découvrir ce qui l'attendait.

Une fois dans la rue, nous nous sommes embrassés pour nous dire au revoir. Il me demanda si l'on se verrait demain. Je lui dis oui.

Le point R. : J., l'autre Polonais-Normand

Posté dans Le point par Asthik

Rendez-vous était pris avec J. rencontré dimanche par l'entre-mise de G.. Nous avions dis 19H30, pourtant dès 18H les nuages s'amoncelaient, menaçants. Bientôt la pluie recouvrit tout dans un fracas de lumière.

Alors que j'étais en ligne avec P. pour m'assurer qu'il était bien à couvert, le double appel fît sa première sur mon appareil. G. est affiché. Je coupe P. avec regrets. G. me demande si je suis déjà rentré chez moi. C'était le cas. Il me dit alors que J., avec qui j'ai rendez-vous, est chez lui et qu'il se propose de passer me prendre pour ensuite amener G. à son lieu de travail. Perdu dans trop d'informations, je dis à G. que je rappellerai J. plus tard.

Après une douche réparatrice, je rappelle J. pour lui demander des précisions. Il me propose de passer me prendre, je lui propose de déposer G. et de venir manger. Pris au dépourvu, il bredouilla, trébucha et stylo en main me demanda mon adresse et le nom sur ma sonnette. Je lui ferai du poulet avec des patates, celui que mon Polonais-Normand premier-adoré connait bien.

La sonnette. Je lance mes clés à un chapeau noir et une veste trempée. J. est sur le pas de ma porte.

De rapides flashs :

  • Il me montre ses photos de « nu » qu'il travaille pour faire une exposition. Brièvement, je distingue déjà une belle bite.
  • Nous buvons du vin rouge en mangeant des toasts de pâté au piment d'Espellette.
  • Je lui montre les vidéos « Joue Pas » et « Ubiquité » ainsi que des portraits réalisés quand j'étais libre et pauvre.
  • Nous mangeons du poulet en parlant de jardinage et d'aménagement de la maison.
  • Nous mangeons du poulet en parlant d'amour.
  • Nous mangeons du poulet en nous projetant dans un avenir commun.
  • Nous buvons du thé sur le même canapé, jambes emmêlées.
  • Il est allongé sur le canapé et je lui masse le dos avec l'huile de massage à l'Argousier.
  • Je suis allongé sur le canapé et il me masse le dos avec l'huile de massage à l'Argousier.

Quelques conseils :

  • Toujours masser de l'intérieur vers l'extérieur
  • Ne pas utiliser les pouces mais le plat de la main pour aller en profondeur
  • Ne pas pincer les trapèzes mais les masser avec le plat de la main, toujours vers l'extérieur
  • Renouveler fréquemment l'application d'huile
  • Bien appuyer sur les lombaires avec les poignets

Dans un dernier mouvement J. s'allonge sur moi et m'embrasse dans le cou. Je sens alors une nouvelle pression dans mon dos. Comme si ma bouteille d'eau s'était coincée inexplicablement entre nos corps. Il me prends la main et me demande la direction de ma chambre. Je l'y conduis et le bascule sur le lit, déboutonnant un jean pour découvrir rassuré que ce n'était pas une bouteille d'eau qui appuyait mon corps quelques minutes plus tôt.

Le point R. : D., Enfin !

Posté dans Le point par Asthik

Mardi soir je rencontrais enfin D. dont je ne connaissais que le gilet en laine noire et la main droite nue sur un parquet. Je dis « enfin » parce qu'il faisait partie de mes premières conversations sur la messagerie de rencontre. Un record de vas-et-viens avec pas moins de 468 messages échangés sur 4 mois. Il était temps de passer au réel.

Rendez-vous fût pris place de la Trinité, au bar le plus libre. Je ne connaissais rien de son visage, refusant qu'il m'envoie toute représentation. Je préférais le découvrir. Arrivé 10 minutes en avance, je me mis à détailler les participants malgré eux. Regardant attentivement chaque nouveau visage entrant sur la place. Parfois avec appréhension, parfois avec espoir, parfois avec certitude. Je le reconnu de suite.

Son iPhone blanc à la main, le fil de ses écouteurs courant sur une chemise blanche à rayures bleus dont les manches étaient sagement repliées découvrant des avant-bras virils. Grand, me cherchant du regard, il était beau. Je m'avançais pour le saluer, une main sur son épaule.

Nous avons parlé, comme à notre habitude, de cinéma, de musique, de la vie. Il est juriste et cherche un emploi. Une situation pas très stable puisqu'il me dit qu'il peut partir n'importe où en France s'il trouve un poste. Il me montre les photos de son appartement qu'il a décoré dans un mélange de récupération, de neuf, de blanc et de vert. Je découvre alors que je n'ai pas d'argent. J'avais tout laissé chez le chinois à midi. Lui, au chômage, me propose un second verre, me disant que je lui en offrirai « la prochaine fois ».

La rencontre fût courte car il mangeait chez ses parents qu'il voit 3 fois par semaine (!!). Il jouait au golf ce weekend « mais pas dans un club guindé ». Il passerait certainement du temps dans les Pyrénées. Un homme occupé. Un homme à suivre. Un bon homme peut-être. Un charmant sans doute.

Un weekend au bord de l'autoroute

Bonjour chers amis,

pour ceux qui sont resté sur Toulouse et que l'ennui guette au fur et à mesure de l'avancée de l'été qui transforme notre bonne vieille ville rose en un endroit morose, nous vous convions à un « weekend au bord de l'autoroute » entre amis, on passera des films, on écoutera de la musique, on boira, on mangera, on prendra des photos réussies ou pas, on se baignera et peut être même que certains feront l'amour ou se feront piquer par un moustique en pleine nuit?

Vous devrez vous équiper d'une tente et/ou un duvet et de votre playlist préférée (1/2 heure ou plus si vraiment çà suffit pas) en format mp3 et à amener sur place (sur clef USB) ou à transmettre à Olivier ou Fabien avant cette date. Pour le reste on s'en occupe on vous demandera juste une participation de 10 euros à donner également à l'un des deux organisateurs dans les 2 semaines qui arrivent (çà va servir pour la bouffe, la boisson et la location du vidéoprojecteur + écran).

En ce qui concerne le transport, on demande à chaque invité qui a une voiture disponible de se signaler afin d'amener ceux qui n'en ont pas…

On vous promet un weekend où vous ne regretterez pas de faire parti de nos amis!

Firesperm & Asthik

weekend-autoroute

El orgullo Madrid

C’est avec un peu de retard que cet article arrive mais il fallait le temps à nos fidèles reporters de se remettre du décalage horaire de leur séjour à Madrid. C’est avec joie et bonne humeur que notre fine équipe composée de 5 personnes (Z.& HP., O. et P&D ) est allée rendre visite à nos meilleures correspondantes espagnoles E. & D. et leur chienne Morcillita blanca.

La semaine de l’orgullo battait son plein et c’était l’occasion pour nos larrons de visiter la ville tout en faisant les soldes pour les plus accros au shopping… Le séjour à été court et les soirées nombreuses. La ville était pleine de gens qui, dans la liesse et l’allégresse, buvaient et dansaient dans les rues. Les festivités se tenaient au début principalement dans le quartier Chueca mais le reste du centre ville fût vite contaminé. Mini bières, travestis, hommes sexy voire même complètement nus, vous pouvez voir les photos de l’évènement ici

En résumé : Les journées ont été courtes et chaudes et les rue pleines de Muscle Marys Over The Top et de fashion victims. HP s’est fait griffé (voir photo plus bas) par une Dragqueeen enragée devenue folle de jalousie quand elle aperçut le maquillage magnifique et inégalable de O. D’ailleurs, La Prohibida ne nous a pas fait l’honneur de sa présence, elle n’a en effet pas supporté l’idée d’être en concurrence avec nous. Scarif

Nous remercions grandement E &D nos hôtes de nous avoir supporté pendant ces quelques jours.

RDV àne pas louper (2) !!!

Posté dans Annonce par Herr.ektor

vendredi 10

L’été est là

Posté dans Alerte par Herr.ektor

L’été est là et il est temps de dire des choses sur ce qu’il se passe. Quelques événements se sont multipliés et personne n’a rien dit. Alors voici le résumé :

Pendant que certains rencontrent de façon effrénée, d’autres partent une semaine dans le nord, certains sont en vacances et tentent d’en profiter, d’autres vomissent sur les terrasses en soirée puis roulent des pelles puis gerbent à nouveau mais cette fois-ci en pleine journée dans une rue très empruntée puis attendent des nouvelles de la belle rencontrée accrochés à leur portable. D’autres reviennent nous faire coucou d’une région obscure du nord de l’Europe où il fait très froid en hiver pour y repartir et revenir dans quelques semaines et y repartir à nouveau presque pour toujours. Certains enchaînent les concerts, sortent des CD à la Fnac et créent un compte sur notre blog sans s’en servir. D’autres se font suspendre dans les airs pendant ces mêmes concerts pour s’enduire d’huile et de paillettes…

Et maintenant que va-t-il se passer ?

A suivre : le départ imminent de nos plus fabuleux reporters pour Madrid, une performance intrigante dont le secret est bien gardé prévue le 10 juillet (voir article précédent), le retour de certains exilés et des soirées, encore des soirées, toujours des soirées et des paillettes et que l’été vive et brille de mille feux !!!

La joyeuse fin de la rue B

Posté dans Vipère party par Herr.ektor

On nous avait prévenu et on ne voulait pas le croire mais nous avons été mis sur le fait accompli : l’antre de la débauche et du raffinement, la rue B , sonnait sa dernière heure et c’est sous forme d’électrofuckdiscosuicidebolywoodparty que le glas a retentit.

Les colocataires de ce lieu cultissime qui a inspiré de nombreux artistes, avaient réunis une dernière fois leurs énergies pour donner ce qu’ils avaient de meilleur : l’amour qu’ils portent au monde qui les entoure.

Nous étions conviés à nous grimer sous les traits d’acteurs et actrices indiens et nous avons presque tous joué le jeu. Ainsi habités par de nouvelles âmes, nous avons pu faire un happening dans le salon où certains jouaient à des jeux fort peu subtils et ennuyeux. Le volume de la musique a ainsi augmenté jusqu’à faire éclater le groupe de joueurs qui ne pouvaient plus rien faire d’autres que de céder leur place aux danseurs enflammés. La fête pouvait commencer et elle allait être à la hauteur de l’Himalaya. Une journaliste d’un quotidien régional (une certaine S ) avait été dépêchée sur les lieux pour couvrir l’évènement. Très vite elle a été complètement prise par l’énergie ambiante et en a oublié ce qu’elle venait faire ici, mise à part participer activement à l’ambiance en trémoussant son popotin sur la piste de danse. Les chorégraphies s’enchaînaient et l’appartement s’emplissait de gens heureux. Nous avons pu croiser au détour d’un couloir ou d’une chambre, des bohémiens, un pirate enturbanné, une femme aux oreilles de chatte, des diseuses de bonne aventure, une accordéoniste qui animait un bal musette, des personnes égarées mais heureuses et bien sûr des indiens et des indiennes dans des positions quelques fois tantriques. La température montait et bientôt le plancher s’embrasa. L’énergie des convives se concentra en une espèce de boule qui explosa et répandit une onde sexuelle sur toute la ville. La rue B finit en un orgasme.

Il s’est passé bien des choses cette soirée là, mais rien ne peut plus être raconté.