« Il faut au moins baiser une fois dans la ville où on est. »
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Selon toute vraisemblance, rien ne se passe
Selon toute vraisemblance rien ne se passe. Les vipères sont des peluches Ikea. Alors que seuls les hétéros se déguisent et qu'il fait chaud, les amitiés sont à l'épreuve. Des lesbiennes boivent du vin et trouvent certains ambigus. Cherchant un chéquier avec un sandwich à la main certaines donnent confiance, et pendant que certains sucent, d'autres s'essaient aux câlins et -confus- rentrent chez eux laissant un vélouz au loin roulant vers de nouvelles déceptions. Certains ne regrettent pas mais ont des remords, à vouloir plus pour tout perdre – peut-être.
Les nuits sont courtes quand on fait les dernières soldes.
Une soirée comme les autres chez R&J
Hier soir s’est tenue une réunion estivale de vipères chez nos tendres R.&J.. Malgré le magnifique fly, concocté par notre cher O. , qui promettait monts et merveilles, la soirée s’annonçait molle à cause de la conjoncture astrale. Mais c’était sans compter le sens exigeant de la fête bien faite des vipères qui sont toujours prêtes à se donner corps et âmes dans des bacchanales orgiastiques sans fin.
Tout à commencer au détour d’un couloir. Avant même l’arrivée de tous, certaines convives s’affairaient déjà à des tâches bien préoccupantes qui nous laissèrent perplexes.
Très rapidement la température est montée d’une dizaine de degrés par seconde et c’est les corps luisants de transpirations diverses que les protagonistes se sont jetés sur la piste de danse pour exulter leur joie sur des rythmes endiablés. Nous avons pu y croiser une policière à l’air polisson et un homme qui venait de se faire greffer des paillettes au bras par un chirurgien méticuleux de Los Angeles en vacances dans les parages.
La policière n’a pas perdu de temps pour exercer son autorité afin d’obtenir ce qu’elle voulait de F. pendant que le reste de la salle s’époumonait sur les meilleurs titres de Lio.
Seulement voilà, la voisine du trente sixième sous sol s’est plainte des cris hystériques de V. qui, en transe, avait oublié l’existence du monde tel qu’il est. Frustrée de se voir encore bridée par les normes sociales encore en vigueur de nos jours V. est partie bouder dans les wc. Solidaires les vipères décidèrent qu’il était temps de pousser la chansonnette vers d’autres horizons et permettre ainsi à V. de s’exprimer librement ou presque. Un cortège s’est formé, étrange balai de formes semi humaines, pour se traîner dans la rue et se dissoudre un peu le long du chemin.
Certains ont continué vers des univers obscurs où Madonna et Kylie Minogue sont reines et d’autres se sont rabattus sur leurs matelas confortables (chacun de leurs côtés bien sûr).
L’histoire ne dit pas ce que sont advenus les Queens Of The Night ni si F. a fini en garde à vue.
Vipere's electrofuck discosuicide party 2008/07 - invitation
Chers amis, proches zé lointains, chauds zé humides, glabres zé poilus, fous zé lucides… Voici ce vendredi que s'annonce une nouvelle vipère's electrofuck discosuicide party. R. et J. nous accueillent dans leur nid d'amour à Bourrasol (les plus dégourdis trouveront). Le thème est bitch'n'glitt (des promesses).
Venez donc heureux zé chaleureux, avec un minimum d'accessoires et une bitch attitude à faire frémir britney spears sous extasy.
La mystérieuse soirée de E...
Aujourd’hui personne n’est sans savoir que E. avait mystérieusement disparu dans la nuit du jeudi 03 Juillet 2008. Que s’est il passé pendant cette soirée pour que E. se réveille à l’hôpital ? De la bouche du principal intéressé, il serait malencontreusement tombé d’un muret… Où ? Quand ? Comment ? Pourquoi ? Etait-ce vraiment un muret ? Autant de questions qui sont restées sans réponses. C’est pourquoi les vipères ce sont réunies afin d’élucider ce mystère. Comme dans « FBI Portés Disparus », la première étape était de reconstituer l’emploi du temps de E. avec les informations que nous avions pu glaner de-ci de-là et en recoupant les témoignages de personnes souhaitant garder l’anonymat. Puis dans un second temps, nous avons émis des hypothèses toutes plus probables les unes que les autres mais qui restent cependant des hypothèses. Voici le résultat de nos tergiversations autour de ce thème.
Jeudi 03 Juillet 2008, 21h30 : V. la colocataire de E. rentre d’une journée éprouvante en émotions. Elle trouve un E. bouffi d’angoisse qui lui lance : « Mais où étais tu ? Bon sang de bordel de merde ! ». Devant un réaction aussi inattendue de la part de E., V. s’est recroquevillée dans un coin sans parler à son colocataire des nouveaux faux cils qu’elle avait piqué à une drag queen de 2m20 pendant les soldes. Enfermée dans son mutisme V. ne se doutait pas encore de la tournure que les événements allait prendre.
Toujours Jeudi mais à 21h42 : E. part à un bal occitan avec son amie révolutionnaire A. . Sur le pas de la porte G. lui dit avec un air de Giscard d’Estaing : « Bonsoir », suivi d’un claquement de langue. Se fût la dernière fois qu’il vit son amant, selon ses déclarations.
Les événements suivants se passent à des heures qui restent indéterminées.
S. un ami de A. , colocataire de E. et petit ami de A. ancienne colocataire de E. , aperçoit E. dans la foule qui borde le Filochard. Nous avons déduit que cela devait être avant 2h du matin.
De source sûre E. déposa son sac à dos aux vestiaires de la célèbre boite à morue toulousaine où E. échoue sa carcasse quand il a trop bu : Le Shangaï. D’après nos estimations nous pensons qu’il devait être plus de 2h du matin.
Samedi 05 Juillet 2008 à au moins 11h du matin : Alors que toutes les vipères étaient mortes d’angoisses et encore bourrées de la veille E. revient à la maison après 24h d’examens médicaux (radios, prises de sang, analyses d’urine et de salive, urétrocystographies et urétroscopies, coloscopies…) subis à l’hôpital de Plouguignac-sur-lèze. C’est avec un œil empourpré, des petites griffures sur le nez et un traumatisme crânien que V. à retrouvé E. au milieu du salon.
Samedi 05 Juillet 2008 à au moins 22h32 du soir : Les vipères purent elles aussi, se rendre compte que quelque chose s’était passé en découvrant E. le poil terni et l’œil torve déclarant ne pas vouloir trop boire à cause de ses fraîches blessures et de son petit corps meurtrit.
Nous n’avons eu le temps de dresser que deux hypothèses, que voici :
- G. aurait jeté E. contre un mur, fou de rage pour une raison qui nous échappe.
- E. se serait fourvoyé avec un groupe de lesbiennes chinoises ou polonaises dont faisait partie une naine rousse avec un pied bot et l’autre plat, un bec de lièvre mettant bien en lumière ses aphtes chroniques, une paupière tombante et des signes évidents d’une trépanation récente. Ensemble, ils auraient joué à se hisser les uns sur les autres afin de réaliser une pyramide phallique. E. serait tombé de son sommet. Sa chute fût amortie par la naine.
Si vous avez d’autres suggestions, n’hésitez pas à nous en faire part ici. Rappelez vous que chaque détail et témoignage peut être important pour que la vérité jaillisse enfin !
Amen
Prendre son numéro
En 2003 O. avait 24 ans et il rencontrait R. au café populaire. Attiré par sa lumière et sa chaleur, O. fît son possible le lendemain pour obtenir sa position afin de poursuivre sur sa peau.
Ce soir là, attendant informations et confirmation de la part de Y., O. découvrît Feist, et sa reprise des plus entrainante de Love You Inside Out. Un message :
- Y. : « Il est au Nain Jaune »
- O. l'y rejoint.
Plus tard dans la soirée, après que les amis de R. se soient gentiment éclipsés de l'intimité de son appartement, O. découvrît l'homme : son poil, sa douceur, ses lèvres et son voisin qui tapa alors qu'O. découvrait son lobe.
O. rentra le cœur joyeux ce matin là, ayant prit soin de noter le numéro de téléphone de R., sur quelque chose qu'il ne risquerait pas de jeter.
L’été s’ra chaud !!!
Samedi 21 juin. Fête de la musique. Ainsi nous y voilà en été !!! Enfin !!! Après tant de pluie de grêle et de vents nous avons bien mérité notre moment de chaleur et de débauche qui annonce bien de futurs articles salés voire même pimentés. C’est les corps encore chauffés du soleil de l’aprem’ et les esprits aiguisés que les vipères avaient décidé de participer activement en tant que public hystérique et exigeant, à la nuit la plus courte mais la plus remplie de l’année (merci à Jacques Langue). Les degrés d’air et d’alcools ambiants ont ce soir là frôlé des sommets.
Tout a commencé au concert de F. que l’on savait en pleine expansion amoureuse. Accoudés aux tables, des verres de bières plus ou moins fraîches accrochés à la main, les vipères dodelinaient leurs têtes et quelques fois leurs corps tout entier au son de la musique électro-épidermo-hypnotique de F. . Une mystérieuse jeune fille à la taille corsetée et chaussée de talons hauts nous est apparue comme étant La dulcinée de F.. F. et A, ça fait FA et ça tombe bien pour un musicien. C’est peut être là, la première note d’une jolie balade ou d’une salade de bave…qui sait ? En tout cas, ils ont l’air et la musique de se plaire ces deux là. C’est donc au diapason que nous les avons laissés pour continuer notre périple dans les rues bondées. Extatiques nous avons rejoint la mythique place de la bourse et ses alentours pour s’envelopper de sons électriques et extasiques.
Dès notre départ nous avions perdu O. qui était resté rue des L en vue de faire finement connaissance avec les jeunes amis d’A.. Nous l’avons retrouvés sur cette place, mouvant son corps de façon délicate, face à un grand et charmant garçon velu, au milieu d’une foule en folie qui sentait la drogue et la transpiration. Nous avons pu alors assisté à un rapprochement des corps jusqu’au contact des muscles faciaux. Décidés à leur laisser un peu d’intimité, nous nous sommes retirés de la foule. Nous avons ainsi pu retrouver la majeure partie (les mineurs étaient au lit) des protagonistes du début. Tous plus saouls qu’avant et prêts à prendre toutes les drogues du monde pour s’enfoncer dans la débauche, nous avons pu assister à d’étranges mélanges de muscles faciaux plus ou moins contractés, de pupilles dilatées, de corps indécents et de comportements décadents.
Au milieu de cette frénésie, V. , colocataire de notre célèbre pinochatologue et C. , célèbre producteur, ont été pris en flagrant délit d’initier un rapprochement corporel. Nous les avons vu fuir les paparazzis bras dessus dessous. Nous n’avons malheureusement pas pu récupérer un seul cliché de cet événement, les paparazzis étant complètement souls et les photos floues (tant que nous n’auront pas réglé ce problème il faudra vous contenter d’imaginer).
Un peu plus tard dans la soirée nous avons retrouvé notre cher O. qui s’était éclipsé avec son jeune N.. Affalés dans l’herbe entre deux flaques de vomis douteux, trois cacas de chien et des montagnes de bouteilles, ils semblaient en bonne position. Mais le temps passa et jeunesse fila rejoindre son destin au Cléo, abandonnant notre pauvre O. un filet de bave à la bouche. « Point trop jeune n’en faut » furent les derniers mots d’O. qui s’en fût amer sur le fidèle destrier de D. prêté pour l’occasion. Après quelques chutes O. arriva sain et sauf dans sa future-ex-maisonnée rejoindre les bras de notre fidèle Morphée et rêver à des Histoires d’O..
Dans la soirée nous avons perdu la trace de B. , nouvellement dénoué d’une histoire d’amour kilométrique, qui s’en était allé chercher charmante compagnie. Si vous l’avez par hasard croisé ou que vous avez été témoin de toute autre situation coquasse ou coquine, venez nous compter ce que vous avez vu.
N’oubliez pas que chaque détail compte et tout témoignage doit être déposé ici dans les plus brefs délais pour le bien de la communauté.
Week end before the fluo party
Quoi de neuf sur la planète vipère…???
En ce dernier week-end du mois de mai pourri et ce premier du joli mois de juin qui à l'air tout aussi pourri que l'autre, O a eu la joie de découvrir qui était le jeune trentenaire psychanalysé dont il a été fait état dans les articles et autres commentaires précédents. C'est le coeur léger et avec les vêtements adaptés qu'il est allé partagé quelques verres en début de soirée samedi. De source sûre nous savons que l'apéro s'est transformée en resto puis, vers minuit trente sept , en retour via le métro pour le petit O qui s'en fût faire dodo. Enfin, ça c'est une version plutôt officielle. Etant donné que nous, les vipères du net, savons que tout réside dans le versant officieux des choses nous avons mené l'enquête et découvert ce que O s'est empressé de faire une fois chez lui… O ne pensait en fait qu'à fignoler son déguisement pour la soirée fluo et nous avons même une photo pour illustrer tout ça… Une question reste cependant en suspend : O va t-il assumer ???
La suite au prochain épisode…
La relation de F. révélée au public
Nous avions vu dans l'épisode précédant que W avait surpris F en charmante compagnie. Tout ceci n'était que début. Depuis nous avons pu en apprendre plus. La scène se passe le Vendredi 23 mai 2008. Le soir même où Ez3kiel donnait un concert bouleversant au Bikini. Après cet acte d'amour scénique auquel nous venions d'assister (je ne parle que du concert!!), nous avions décidé de nous polluer un peu les poumons près de la piscine du bikini qui, cela va sans dire, est génératrice de fantasmes collectifs. Quand tout à coup, surgit des profondeur de la salle obscure, F en compagnie de sa charmante. Ainsi les rumeurs n'étaient pas fondées sur les élucubrations alcooliques de notre tendre W mais sur une réalité… Nous avons pu alors apprendre que la jeune fille de l'histoire se nomme M mais pas grand chose de plus à cause de l'émotion provoquée par le concert qui chamboulait encore nos psychés et nous empêchait de communiquer de la manière habituelle. Les faits étaient là. F n'est plus célibataire… Au même moment V qui fêtait ses 31ans, s'entourait de jeunes filles en fleur qui scandaient son nom et chantaient à s'époumoner; W bavait du coin de la bouche en regardant des pré-adolescentes à capuches; B parlait avec une fille maquée; N se faisait homme de relation publique et E se dodelinait sur la piste de danse en espérant prendre dans ses filets autre chose qu'une morue…
Nous ne savons pas ce qu'il en est advenu plus tard mais peut être qu'un membre actif de la communauté pourra nous fournir plus d'informations sur cette fin de soirée…
En attendant la prochaine nuit de folie qui ne saurait tarder, ouvrez bien vos yeux de vipères, sortez votre langue acérée et surtout prenez des photos !!!
Ça commence par la taille
Aperçu hier au soir par W., F. et une charmante jeune fille (15ans selon toute vraisemblance), bras dessus, bras dessous, main sur taille et autres parties, tellement absorbés qu'il ne reconnaissaient rien.
Est-elle catholique ? Est-elle groupie ? Est-elle majeure ? Bien des questions qui restent en suspend comme de la bave dans un verre de coca.