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Le blog de ceux qui ont assez d'amis pour en dire du mal

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Étiquettes / Disco

CINEMA – UV

Posté dans Musique par Asthik

C'est un peu comme si Mylène Farmer faisait de la synthpop. <3

ladies of the eighties

Posté dans Musique par Pseudo.me

Gay every day

Posté dans Société par Pseudo.me

droids 1977

Posté dans Musique par Pseudo.me

the pape is back : hallelujah !

Posté dans Société par Pseudo.me

Food of love : le clip

Posté dans Musique par Herr.ektor

Je vous l'avais annoncé, il est arrivé aujourd’hui le nouveau clip de Hard Ton ! Friandise, sucrerie, cup cake, sont au rendez vous pour une danse amoureuse.

Alors en attendant la prochaine électrofuckdiscosuicideparty vous pouvez toujours vous trémousser sur leur nouveau morceau sucré !!!

Teaser Threesome Party

Posté dans Vipère party par Wank4me

Un teaser pour vous mettre l'eau à la bouche… ou ailleurs, en attendant la fabuleuse Threesome Party qui pointe le bout de ses stilettos dorés. Inscrivez-vous à l'évènement sur Facebook

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C'est d'abord la voix dorée de Lilja, caressante et troublante, qui nous invite sur les flots. Alors que nos sens s'éveillent et que nos cœurs chavirent Burnsfield nous transit. Les mains aux étoiles, le souffle court, le poil humide, c'est le moment qu'attendront les vipères pour nous prendre et nous faire oublier la nuit, dans un mélange d'électro, de sueur, de sourires et de paillettes.

Il faut dire qu'avec 7 langues, 140 doigts et 16 orifices, il y aura de quoi faire dans ce threesome musical.

PAF: 3€ et un bisou

http://www.noomiz.com/liljaandersen/
http://burnsfield.bandcamp.com/
http://www.blogvipere.com/

On vous aime !
mais pas trop

Elastique Esthetique Magnifique

Posté dans Vie pratique par Pseudo.me

je propose de relancer la mode du patin à roulettes (it's really hot stuff…)

Soirée Divine ou les tribulations d'Herr.Ektor

Posté dans Faits divers par Herr.ektor

Je l'attendais ce weekend avec impatience. Depuis que j'avais vu passer l'information annonçant que le Jerk Off s'associait à Mercredi Production pour nous proposer un weekend hommage à Divine, j'étais dans tout mes états. Divine, la grande prêtresse du trash 80 allait revivre le temps d'un weekend à Paris et je ne pouvais me permettre de louper cela. Je me suis donc rendu à la capitale pour assister à ce petit festival, plein d'espoir et d'envie devant une programmation qui me faisait rêver. Ne pouvant me permettre d'y assister les deux soirs, j'ai choisi d'y aller le samedi en compagnie de G, que nous appelleront Princesse Cyprine pour garder son anonymat.

Nous nous sommes retrouvés dans le 18ème, histoire de s'échauffer avant la soirée. Un cassoulet maison, deux bières et une demi bouteille de vodka plus tard nous nous retrouvâmes plein d'entrain, devant les portes du Point éphémère qui s'ouvrirent à notre arrivée. Question timing nous étions bons. Il ne nous restait plus qu'à parfaire nos maquillages, armés d'eyeliner et de paillettes, devant les grilles de l'entrée histoire de briller un peu, et par autre chose que par notre tôt d'alcoolémie qui commençait à croître. C'était aussi notre façon de rendre hommage à la grande prêtresse Divine.

La soirée s'annonçait bien, nous étions dans les premiers arrivés, nous avions le temps de boire quelques autres bières en attendant que le monde arrive un peu et de profiter d'avoir encore de la place pour danser. J'attendais aussi avec impatience la performance annoncée de Piersten LEIROM & David LENHARDT (voir ici ). En attendant, Princesse Cyprine et moi même faisions des aller-retours entre le dancefloor, où la musique tintée de sons des années 80 faisait gigoter le public grandissant, et le fumoir, qui ne se vidait jamais. Nous y avons d'ailleurs rencontrer un brésilien de Montpellier, un faux suisse blond de Paris, un vrai suisse brun barbu de Genève et pleins d'autres personnes plus ou moins intéressantes et intéressées, plus ou moins droguées, sevrées ou alcoolisées.

Notre amie V., que nous nommeront la bourlinguette, nous rejoignit dans la soirée et alors que je me questionnais à voix haute sur l'heure de passage de la performance, elle me dit avec entrain : « Ça vient juste de finir, tu l'as pas vue ? Ils ont fait des trucs trash avec un balais à chiotte! ». Je n'en croyais pas mes oreilles alors je me mis à râler. Mes deux compères durent me calmer en m'offrant une autre bière et m'amenèrent d'urgence me mêler aux beaux hommes qui dansaient à moitié nus. Après la frustration, un peu de danse topless ne pouvait que me faire du bien. Sur le chemin, alors que nous essayions de nous frayer un passage devant les toilettes pour rentrer dans la salle pleine de gens en sueur, un jeune fille bien blanche de figure nous demanda, les lèvres tremblotantes, où étaient les toilettes et rajouta aussitôt : « Je crois que je vais vomir ». Aussitôt dit, aussitôt fait, nous eûmes juste le temps de nous décaler pour la laisser faire sa petite affaire au milieu de tout le monde. Un jet blanchâtre constitué de bille, d'alcool et de reste de repas jaillit dans les airs et retomba au sol, en faisant un joli splosh dans l'indifférence générale. Une partie atterrit sur l'épaule de la fille qui la précédait sans que celle-ci, prise par sa conversation, ne s'en aperçoive. Écoutant notre cœur, nous l'avons tout de même prévenue qu'une giclée de vomi coulait de son épaule gauche vers son dos dénudé et nous la laissâmes à ses cris d'horreur et de dégoût. J'avais loupé la performance que je venais voir mais au moins j'avais vu une fille vomir sur une autre.

Plus tard, au fumoir le faux suisse blond m'embrassa puis disparu chercher une meilleure proie, ce qui fût un peu déconcertant au début mais finalement je n'avais rien perdu, quant au vrai suisse brun barbu, lui, il dansait et continuait sa soirée en s'amusant.

Toute la nuit nous n'avons eu de cesse de pailleter les gens parce qu'ils le réclamaient, enfin presque tous. Et encore une fois nous pouvons dire que les paillettes restent l'élément essentiel pour passer une bonne soirée.

Puis, la fatigue se fit sentir. La bourlinguette était partie avec sa petite amie moins bourlingue qu'elle. Le jour commençait à se lever. Il était temps de rentrer. Dans le métro désert je me suis rendu compte que je n'étais pas dans la bonne station, Princesse Cyprine décida alors de m'accompagner à pied, le long du canal. Il faisait froid, nous n'étions pas d'accord sur le chemin à suivre, j'en avais marre, mais j'avais passer une super soirée, des paillettes plein la tête, au sens propre comme au figuré. Ce soir là, l'esprit de Divine avait été avec nous.

Vipères' electrofuck discosuicide party le 28 avril au Beaucoup !

Posté dans Vipère party par Wank4me

Chers amis,

Samedi 28 avril, la middle-punk toulousaine vous prend dans le beaucoup.

Il y aura des paillettes, des gommettes, du ruban adhésif, de la musique géniale, une ambiance fabuleuse et des gens délicieux !

Alors mettez des chaussettes, votre plus belle culotte et rejoignez-nous !

Le blogvipere.

PS: On vous aime ! (mais pas trop)

VEFDSP 201204