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Le blog de ceux qui ont assez d'amis pour en dire du mal

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Étiquettes / Émotion

Le point R. : S., un samedi

Posté dans Le point par Asthik

Comme il avait envie de pisser, nous sommes allé au TNT.

Je l'attendais sur un tabouret enveloppé de lumières tamisées, dans un désert de tables, de chaises et de lampes. J'humidifiais mes lèvres au rythme de mon cœur qui s'emballait. Il sorti des toilettes et alors qu'il se penchait pour ramasser la poche contenant le cadeau pour sa mère, je le saisis par la ceinture pour l'entrainer entre mes jambes, contre mes lèvres. Il était doux et excitant comme une première fois. Pourtant, pas besoin d'ajustements, nos langues firent connaissance comme rarement.

Alors que je caressais son dos, quelques doigts coincés par l'élastique de son caleçon, il me dit que je lui avais tendu un piège et que maintenant il bandait. Il se pencha à nouveau pour ramasser le cadeau pour sa mère, frôlant de sa main mon jean au point le plus tendu, dans un mouvement lent et contrôlé, comme pour découvrir ce qui l'attendait.

Une fois dans la rue, nous nous sommes embrassés pour nous dire au revoir. Il me demanda si l'on se verrait demain. Je lui dis oui.

Photos de l'enfance

Posté dans Souvenir par Asthik

Une fois n'est pas coutume, point de sexe, de scandales ou d'artistes bizarres. Juste deux photos de mon enfance, que ma mère vient de m'envoyer. Vous y remarquerez la djellaba qu'une de mes tentes m'avait ramené d'un voyage en Égypte, que je porte avec mes fameuses bottes marines en plastique… Et après on s'étonne !

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De gauche à droite : Moi, ma cousine L. (déjà hyper fashion à l'époque) son frère F. et à nos pieds mon chien S., la bite à l'air.

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De haut en bas : Ma sœur et moi, en train d'attendre le facteur.

Cabaret Érotique

Vendredi et samedi soirs se tenaient les soirées Cabaret Érotique au Micmac Motel. Il fallait réserver et nous nous y étions pris trop tard. Pas moyen de se faufiler sans invitation, les places étaient limitées et environ 130 personnes étaient attendues chaque nuit. Frustrés, nous nous étions résignés à ne rien faire mais c’était sans compter un heureux concours de circonstances qui fit que des places se libérèrent au dernier moment pour la soirée de samedi.

Nous avions revêtu de beaux habits pour l’occasion. Excités devant l’entrée, nous ne savions pas à quelle sauce nous allions être mangés. Des hôtesses pomponnées nous accueillirent dans le couloir. Après quelques formalités d’usage et une explication rapide sur le déroulement des choses nous pûmes profiter de la soirée. Un système de petits papiers était mis en place pour assister à différentes performances. Nous n’avions rien compris à ce fonctionnement et nous décidâmes d’aller explorer et découvrir de belles choses au hasard de notre chemin, après le rapide détour par le bar de rigueur.

Dans le couloir, mises en scène par notre FraiseVinyle préférée, deux poupées torses nus aux airs de duchesses baroques étaient montées sur des échasses. Port de tête altier, poses lascives, elles délimitaient les deux chemins à prendre tout en restant muettes. Les étoffes de leurs tenues tombaient au sol et formaient un passage entre leurs jambes démesurées. Il nous fallait passer entre ces jambes, sous les jupons à quatre pattes, pour pénétrer les pièces à visiter et laisser l’appartement labyrinthique livrer ses mystères au gré de notre errance.
alex1 échassalex echassjulia1 échassejulia2 dosjulia1 dosjulia2 alex2 Nous avons pu suivre un parcours sensoriel où, les yeux bandés, nous étions guidés au centre d’un espace délimité par des rideaux noirs. Caresses, odeurs, saveurs sucrées, bruissements d’eau, sifflements, des gens s’affairaient tout autour de nous pour nous aiguiser les sens puis nous ramenaient doucement à la sortie, accompagnés de bruits de bisous, nous laissant à nos rêveries. Nous étions en bonne condition pour continuer notre chemin.

Il y avait, une mariée dans une baignoire qui lisait un texte, une installation gustative étonnante à laquelle nous pouvions accéder en entrant par la porte d’une armoire, des projections vidéo, des musiciens qui se traînaient par terre, d’autres qui jouaient debout, un femme hystérique qui samplait ses cris de jouissance et entraînait les passants dans ses filet de mousseline blanche, une vulve géante dans un placard entrouvert et des petits spectacles de cabaret. saxo folle vulve inconnue

Nous n’avons pas pu assister à tout à cause du monde, des rendez vous ratés et de l’heure qui avançait plutôt vite, mais nous avons profité pleinement de cette agréable soirée dépaysante comme on en voudrait plus souvent.

Merci aux organisateurs et à tous les artistes de nous avoir fait vivre un petit espace temps rafraîchissant.

Le point R. : D., Enfin !

Posté dans Le point par Asthik

Mardi soir je rencontrais enfin D. dont je ne connaissais que le gilet en laine noire et la main droite nue sur un parquet. Je dis « enfin » parce qu'il faisait partie de mes premières conversations sur la messagerie de rencontre. Un record de vas-et-viens avec pas moins de 468 messages échangés sur 4 mois. Il était temps de passer au réel.

Rendez-vous fût pris place de la Trinité, au bar le plus libre. Je ne connaissais rien de son visage, refusant qu'il m'envoie toute représentation. Je préférais le découvrir. Arrivé 10 minutes en avance, je me mis à détailler les participants malgré eux. Regardant attentivement chaque nouveau visage entrant sur la place. Parfois avec appréhension, parfois avec espoir, parfois avec certitude. Je le reconnu de suite.

Son iPhone blanc à la main, le fil de ses écouteurs courant sur une chemise blanche à rayures bleus dont les manches étaient sagement repliées découvrant des avant-bras virils. Grand, me cherchant du regard, il était beau. Je m'avançais pour le saluer, une main sur son épaule.

Nous avons parlé, comme à notre habitude, de cinéma, de musique, de la vie. Il est juriste et cherche un emploi. Une situation pas très stable puisqu'il me dit qu'il peut partir n'importe où en France s'il trouve un poste. Il me montre les photos de son appartement qu'il a décoré dans un mélange de récupération, de neuf, de blanc et de vert. Je découvre alors que je n'ai pas d'argent. J'avais tout laissé chez le chinois à midi. Lui, au chômage, me propose un second verre, me disant que je lui en offrirai « la prochaine fois ».

La rencontre fût courte car il mangeait chez ses parents qu'il voit 3 fois par semaine (!!). Il jouait au golf ce weekend « mais pas dans un club guindé ». Il passerait certainement du temps dans les Pyrénées. Un homme occupé. Un homme à suivre. Un bon homme peut-être. Un charmant sans doute.

La Prohibida à la découverte de l'espace !

Posté dans Musique par Asthik

Espace, frontière de l'infini et de la dance ! La Prohibida va jouer du côte de Sheila et de son spacer, faisans chavirer nos cœurs et nos culs. Visitez vite son myspace !

Prohibida Spatiale

Bon, il n'y a pas encore de clip, mais j'ai trouvé un live :-)

Et un truc pas très intéressant, mais avec un son qui n'est pas trop à chier :

Decrémaillère B suite

Posté dans Vipère party par Sexysperma

Voilà enfin les photos de notre adieu à un lieu qui restera cher dans nos coeur, pour toujours et à jamais. Nous savons de sources sûres que d'autres photos ont été prises pendant la soirée, nous espérons les voir très vite sur notre blog préféré!

LA!!!

Tu l'as bien mérité !

Posté dans Musique par Asthik

TuLaBienMérité

Le nouvel album de Sexy Sushi est dans les bacs !!
J'éplucherai le premier à le télécharger sur Emule !

« Si tu veux que je te le donne
Si tu le veux, je te le donne
Si tu veux que je me le fasse
Si tu le veux, je me le fais
Si tu veux que je le devienne
Si tu le veux, je le deviens
Si tu veux que je te le dise
Si tu le veux, je le dirai

Je t'obéis. Je t'obéis. Je t'obéis.
Je t'obéirai ! »

Decremaillére

Posté dans Vipère party par Sexysperma

decremaillerebv

En réponse au talent qui n'a pas d'âge

Posté dans Musique par Asthik

Je sens la caresse sur mon poignet
Du bracelet Brésilien qu'il m'a donné
En disant « Quand il se cassera,
Alors ton rêve se réalisera »

Y a pas que les grands qui rêvent
Y a pas que les grands qui ont des sentiments
J'voudrais qu'il m'embrasse sur les lèvres
Pas comme une enfant

Le talent n'a pas d'âge

Posté dans Faits divers par Herr.ektor

Voici une vidéo qui fait un vrai pied de nez à tous les canons de beauté télévisuels habituels et qui nous rappelle qu'on peut être vieux et moche et enivrer les foules..

Nous lui pardonnerons le choix de la chanson car l'interprète nous rappelle combien certain(e)s peuvent être d'une platitude extrême.
Alors oui !! le talent n'a pas d'âge et nous avons encore le temps…