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Le blog de ceux qui ont assez d'amis pour en dire du mal

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Étiquettes / Émotion

Jiz : Let's get a fucking abortion

Posté dans Société par Asthik

Dans cet épisode (en Anglais désolé), les filles veulent garder leur bébé, mais Jiz veut qu'elles avortent, jusqu'à un retournement de situation des plus incroyable :

  • I don't ask for much Jiz. Why can't we have a baby ?
  • Uh Dah ! Because I like abortions.
  • But can't we have one arrive to full term ?
  • Ha gross ! Look you know the rules, only live things come in my pussy.
  • And only dead things come out, I know, it's very clever.

Leave your boyfriends behind

Posté dans Musique par Asthik

Je vous aime mes chats !

La saga du printemps IV

Posté dans Alerte par Herr.ektor

Dans les épisodes précédents, vous avez pu suivre les aventures de Seliba et d'un livreur qui deviendra pornstar quelques temps plus tard. Après moult analyses poussées au plus profond et un gode en état de marche, le plus grand pinochatologue de l'univers terrestre et peut être même extraterrestre, décida qu'il était temps de retrouver ses amis dans la ville endormie. Là-bas une conclusion s'imposera à eux comme une évidence qui l'est trop pour être vraie.

Révélations, suspense et soirée festive sont au programme dans ces deux avant-dernieres sections du chapitre « Le double G » sur blogvipere/story.

En relisant votre lettre

Posté dans Annonce par Wank4me

Cher amour,

Comme vous m'avez manqué. Ces derniers jours étaient mornes sans votre voix de rose et de vert mêlés. Comme je suis heureux de vous retrouver mon tendre, pouvoir à nouveau lire entre vos lignes, comme pour prendre des nouvelles d'amis lointains de toutes couleurs et de toutes formes, qui dessinent les trames d'autres vies fines et compliquées dans l'immense chaleur de désirs sans fins et de ragots sans fonds.

Soulagé mais non rassasié, je m'en vais vous dévorer.

La saga du printemps

Posté dans Annonce par Herr.ektor

Depuis quelques temps, Asthik se sentait las. Il lui semblait que quelque chose se passait dans son corps sans qu’il puisse mettre le doigt dessus. Il imputa cette étrange sensation à la dernière soirée en date, celle-là même qui lui avait laissé une marque de dentition sur la hanche. D’ailleurs, il avait fini par la trouver sexy cette scarification, un peu comme une de ces cicatrices de guerre qui rendent un homme mystérieux. Son aspect, au début assez étrange, était devenu en quelques jours totalement acceptable. Quelque fois il la caressait en pensant à l’homme qui l’avait mordu et se souvenait du goût qui avait empli sa bouche après l’acte…

La suite sur blogvipere/story, chapitre « Le double G ».

La saga du printemps débute donc aujourd'hui avec les trois premiers chapitres !!!
Toutes les semaines, de nouveaux petits chapitres apparaîtront à la seule condition qu'ils soient réclamés par les lecteurs… A bon entendeur…

PS : Je vous kiffe mais pas autant que mon chat.

Disparition aux Coquelicots…

Posté dans Faits divers par Ovaria

Hier soir vers 19h47 à peu près, j’ai entendu un fracas dans les escaliers. De toute façon c’était l’heure de sortir « Petit Cochon d’Inde » (oui c’est comme ça que j’ai baptisé mon Cochon d’Inde).

Je sors sur le pallier.

Pas de lumière.

Je me retrouve dans la nuit noire entendant raisonner « Madame c’est les pompiers ! Ouvrez » surenchérit de coups sur la porte du voisin mystérieux ! Mais je me doute à cet instant de son identité. J’arrive en bas fébrilement avec Petit Cochon d’Inde qui ouvre ses yeux ébahit sur le spectacle funambulesque qui se dessine devant nous ! A coup d’hommes multiples et identiques dans leur tenues de guerrier du feu, l’entrechoquement des lumières bleues sur le rouge de leur bolide nous projètent dans une dimension zolaïenne !

Je retrouve alors Bobby du rez-de-chaussée, énergumène à la mine patibulaire souvent accompagné d’une volute de fumée verte à l’odeur illégale. Puis il y a Marie-Félicie du 5ème soutenant de son bras Plectrude du deuxième les yeux humides et la jambe tremblante. C’est elle qui a prévenu les guerriers du feu. Elle m’explique qu’elle n’a pas vu Rosine (du premier) depuis trois jours, qu’elle est inquiète et qu’elle a sonné l’alarme. Je reste là immobile essayant de rassure Plectrude et de recueillir des informations à la manière d’une enquête policière tout en détaillant cette poignée d’hommes à la force de l’âge. C’est étrange me dis-je, je les voit au ralentis. Je sens comme une poussée dans mon corps.

Stop. Je reviens à la réalité.

L’un deux sort une petite échelle afin, d’atteindre le balcon de Rosine. Il fracture une des portes-fenêtres, entre. Quelques minutes plus tard il revient. Il n’y a personne. Rosine a disparue.

Morale : S’il ne se passe rien dans ta vie, raconte celle de tes voisins !

Blogvipere Story

Posté dans Annonce par Herr.ektor

On vous en avait parlé il y a quelque temps, on vous l'avait promis alors la voici la section Story de notre cher Blogvipere. Des améliorations vont être apportées prochainement en ce qui concerne la navigation vers cette rubrique, mais en attendant vous pourrez y accéder depuis ici ou en tapant blogvipere.com/story.

Dans cette rubrique vous trouvez toutes nos aventures, souvent inspirées de faits réels. Pour l'instant, vous allez pouvoir découvrir ou redécouvrir les portraits des héros, une petite présentation intitulée Notwin Pinktown et une première histoire : La Morsure.

Prochainement, d'autres épisodes apparaitront…

Bonne lecture.

Homicide aux Coquelicots - Part II

Posté dans Faits divers par Ovaria

Les mains tremblantes j’ouvre la porte le plus discrètement possible. Très vite je suis saisie par un fil frais qui me glace le cou. Les chuchotements, les hurlements se font plus distincts. Je reconnais deux voix sans pouvoir clairement les identifier.

Quelqu’un hurle « nan laisse moi ! nan… » L’autre personne « pense à Gipsy, pense à lui »

Je me fige à l’orée de cette porte qui ouvre sur une autre porte fermée depuis des mois, depuis que j’ai décidée de m’installer aux Coquelicots.

La voix hurle comme une vieille femme gitane qui a perdue son enfant. Puis des pleurs. Elle est cloîtrée dans son appartement et hurle derrière la cloison.

L’autre est sur le palier, un étage en dessous du mien, à son ton débonnaire, je reconnais Rosine du premier, femme seule et alcoolique qui n’a gardé de féminin que son prénom. Rosine. Ah Rosine comme le stigmate du seul amant qui lui reste : sa bouteille de rosée. Je reconnais sous les cris brisés la tessiture de Ruth : (deuxième droite) qui n’a de femme que ces restes de rêves. Les voix et les pleurs s’éteignent. Je referme la forme ne pouvant empêcher le grincement rouillé des gonds endormis.

Ce n’est que le lendemain que j’apprendrais la cause de cette étrange échange de pallier en croisant Ruth vers l’ascenseur qui devait enfin m’arracher à cette rude journée. Je la vis. En larme. Eu égard à mon métier de moniale je ne pu la laisser seule. Elle m’apprit le drame :

La veille, son chien a assassiné un de ces congénères. Là. Devant Les Coquelicots. Le prenant au collet avec ses dents acérées qui n’ont cédées que sous le poids du vaincu. Du sang répandu sur le bitume comme unique trace d’un massacre commis devant Les Coquelicots un soir de février 2010.

La mort rôde chaque soir. Les persiennes se ferment dès le premier clignement d’œil du soleil. Depuis plus rien n’a jamais été pareil aux Coquelicots.

Morale : S’il ne se passe rien dans ta vie, raconte celle de tes voisins.

Ô magnetoscope de ma jeunesse

Posté dans Musique par Asthik

Homicide aux Coquelicots

Posté dans Faits divers par Ovaria

Il est 22h20. Nous sommes le 1er février de l’année 2010. Dehors l’air est frais. Dedans l’air est chaud. Les poils humides. Le casque sur les esgourdes besognant sur des pistes audio depuis des heures. En fond, mon cube décoratif susurre à peine les gémissements d’un quelconque film pour adolescents dans l’attente de la fulgurante Sigourney Weaver.

22h37 : Je bois un verre d’eau. Je pense à mon harassante journée de travail et à celle qui m’attend demain.

22h40 : des bruits sourds aux Coquelicots, à l’instar des cris émis par une lapine accouchant de triplés. Je me questionne ; me demande si c’est mon chant qui transpire dans mon casque. Non.

22h43 : Les chants de l’horreur se répètent. Je diminue le volume du cube jusqu’au néant. Puis plus rien. Je balance quelques insultes comme une charretière empêchée dans son ouvrage.

22h51 : Les bruits se font de plus en plus rapides. D’un coup sec je retire le casque – qui me donnait, par ailleurs, une allure de Goonies – je jette un œil sur mon cube décoratif, je vois des bêtes immondes dites « de l’univers » qui plus est « stars » mais ce n’est pas ça. Les cris de brebis repartent de plus belles. J’ai peur. Mon cœur bat de plus en plus vite. L’œil vif du chien, ses oreilles se dressent tels des tomahawk jurassiens. Je tends le cou et décide d’aller me pencher à la porte d’entrée. Des hurlements bovins me forcent à ouvrir ma porte d’entrée.

Et là…

La suite prochainement…