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Le blog de ceux qui ont assez d'amis pour en dire du mal

Le blog de ceux qui ont assez d'amis pour en dire du mal

2009

Posté dans Vipère party par Herr.ektor

Le 31 au soir, là où vous savez, s'est tenue la dernière électrofuckdiscosuicideparty orgiastique de l'année 2008 et la première de l'année 2009 dont vous pouvez avoir un aperçu ici.
La conjoncture astrale était favorable à nos excentricités et c’est vêtus de nos plus beaux habits et de nos plus clinquants accessoires que nous avons mis fin à cette année riche en émotions, soirées et découvertes fabuleuses. Malgré quelques problèmes techniques dus à l’âge avancé du matériel informatique qui, manifestement, n’aime pas faire plusieurs choses à la fois, ni Abba, ni Madonna; nous avons quand même pu trépigner sur nos morceaux préférés même s’il en manquait quelques un. La magie de l’hiver a opéré et il a neigé de façon abondante des paillettes blanches et brillantes sur nos visages ébahis par les lignes de nos histoires qui se sont croisées et se croiseront encore.
Un certain E. manquait cependant à l’appel, mais un autre appel à l’accent ibérique contre lequel nous ne pouvions lutter, celui de l’amour et du sexe ou de l’amour du sexe…, était plus fort. Nous saurons le retrouver pour lui faire payer le prix exubérant de son absence (tous les châtiments seront permis).
Cette soirée nous avons aussi appris qu’un de nos membre actif allait nous quitter dans quelques jours pour voler vers de nouvelles aventures plus professionnelles, mais ne vous inquiétez pas il reviendra bientôt. Et cet exil partiel, car il sera toujours présent dans nos coeurs, sera aussi pour nous l’occasion de développer notre réseau vers la capitale… Bon courage à notre R. chéri et star incontournable du magnifique clip « Joue pas » ; nous sommes et seront toujours de tout cœur avec toi.

La fin de l’année c’est aussi l’occasion de faire un bilan de l’année passée mais nous ne le ferons pas car il y a des articles à lire régulièrement, bande de flemmards !!! Nous retiendrons cependant, la naissance et la croissance fulgurante de notre bébéblog chéri qui n’a pas fini de nous conter les fabuleuses aventures des vipères et de leurs amis ou ennemis, et de diffuser ainsi leurs venins perfides sur la toile bien trop lisse du net. Nous retiendrons aussi le concept de nos soirées électrofuckdiscosuicideparty qui ont été avec succès toute l’année source de joies, d’enchantements et de ragots en tous genres (voire transgenres) et qui n’ont laissé personne indemne, laissant même quelque fois des traces pailletées à des endroits incongrus. 2008 devait être glitter et elle l’a été jusqu’au bout du sexe. Le thème n’a pas encore été défini mais nous nous devons de faire encore plus fort et placer cette nouvelle année sous le signe de l’intransigeance.

Les glitters resteront néanmoins à l’honneur car elles nous collent au cœur comme une mycose qui résiste à tous traitements.

¿Qué tal la resaca?

Posté dans Fêtes familliales par Seliba

Quelle gueule de bois! Personne ne s'est réveillé depuis hier?

Réveillon du nouvel an

Posté dans Annonce par Herr.ektor

Demain soir, où vous savez, se tiendra le réveillon du nouvel an. Pas de thème mais une seule devise : Toutes les excentricités sont permises.

A bon entendeur…

Pensée du soir 2

Posté dans Philosophie par Herr.ektor

« Chat repu trouve que le cul de la souris pu »

les Nuls

François Feldman icône gay?

Posté dans Musique par Sexysperma

Crémaillère sanglante

Posté dans Vipère party par Asthik

Hier soir O. se rendait chez V. en vu d'être overoptimâle pour la crémaillère « body art » de X., nouvellement revenu du Canada avec sa tendre.

Pourvus de nombreux tatouages, paillettes et fabuleusité, nos compères partirent joyeux à leur habitude, pleins d'espoir de rencontres potentiellement développables dans la pénombre. Que n'eurent-ils pas espéré !!

Quinze minutes après leur arrivée, O. faisait déjà la connaissance de Volverine, qui lui demanda de lui mettre des paillettes « jusqu'au bout de la bite ». Ravi d'aider son prochain à devenir fabuleux, O. s'exécuta.

Après avoir parcouru le torse musclé et poilu de Volerine, d'abord à la brosse, puis au doigt, suivant un trait de poils des plus alléchant, il se heurta à un caleçon.

  • O. : « Comment veux-tu que j'aille jusqu'au bout ? »

Volverine déboutonna alors son pantalon et baissa le dit caleçon, laissant un gland timide. Sous les yeux médusés de l'audience, O. frotta généreusement ses doigts dans son réservoir à paillettes, avant de les appliquer avec la même générosité sur le sexe offert.

  • Volerine : « Mets-moi du bleu maintenant »
  • O. : « Je n'ai pas de bleu »

À peine O. eu-t-il prononcé ces mots que Volverine se pencha pour lui mordre le téton.

  • Volverine : « Mets-moi du bleu »

Pensant qu'il valait mieux en garder pour le reste de la soirée, O. prit V. sous le bras et alla mettre son disque dur (très dur) au cul de l'ordinateur du salon afin de sauver la soirée de pleins-de-gens-qui-dansent-pas-parce-que-la-musique-est-nulle. Il fit alors la rencontre du frère de la tendre de X., dont il oublia aussitôt le prénom. Pour éviter toute confusion, nous le nommerons Michel.

La soirée commença enfin avec le démon de la danse. Très vite les corps se rapprochèrent et les esprits devinrent plus coquins, alcool aidant.

Après une heure de danse, O. laissa sa place de DJ adulé, et s'enfuit après la Lambada, pour voir si homme il y avait. Il trouva alors Michel et senti bien vite qu'il était flexible quand il lui mit sa langue dans la gorge. Une demi-heure de pelle ça assoiffe. Voyant que V. dansait comme une folle. O. poursuivi son voyage en direction de la cuisine, territoire encore inexploré. Il s'arrêta pourtant très vite, mais pas très longtemps, embrassé par Volerine, « mais pas avec la langue ».

Les heures passent, les gens pleins d'alcool se vident, et V. se retrouve dans les toilettes à en faire autant. Une dernière cigarette. Un dernier coup. Des bisous et V. s'en alla, laissant O. qui n'avait pas trop envie de rentrer pour des raisons incluant une sérieuse envie de se retrouver à deux (et plus si affinités) dans un endroit avec du carrelage blanc. Mais avant cela, il fallait prendre des forces. O. s'allongea alors sur le lit de X. pour converser avec ses deux nouvelles partenaires de danse. Quand tout à coup il se retrouva cloué au lit sous un poids qu'il attribua à X., qui avait été très câlin auparavant (un an de séparation oblige).

  • O. : « X. tu me brules avec ta clope ! »

Mais ce n'était pas X..
Ce n'était pas non plus une cigarette.
O. venait d'être mordu au sang par Volverine.

Crémaillère sanglante

Faire du neuf avec du vieux

Posté dans Musique par Herr.ektor

Pendant que certains se déchaînent dans des soirées aux thèmes exubérants en laissant des traces de paillettes sur des sexes inconnus, d'autres créent… Alors voici en EXCLUSIVITE MONDIALE le dernier titre transgenre et transgénérationnel, sans grande prétention et qui ne dure pas 16min, de Darkbizounours (connu aussi sous d'autres noms). Interprétation très libre qui constitue une déstructuration et une reconstruction d'une balade célèbre et connu de tous. Cette création se veut le reflet de l'espace social qui nait autour de la musique populaire, revisité au goût du jour. En ces temps de crise rien ne vaut le recyclage, faire du neuf avec du vieux, une flûte traversière, un ordinateur et c'est partit.

@publish publish@

Nous espérons que ces ondes percuterons vos cerveaux de plein fouet.

Touche pas mon sexe

Posté dans Musique par Herr.ektor

Cette chanson est pour vous petite bande de Maria Carey dévergondée…

@publish publish@

Merci P. de nous faire découvrir les perles des années 80

Un peu de culture et de poésie

Posté dans Philosophie par Herr.ektor

On peut dire un grand merci à A. de nous faire découvrir avec toute la fraicheur de sa jeunesse flamboyante, des ovnis plein de sensualité… Perso j'adorrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrre !!!

Merci A. on te kiffe même sans ta combi… (oh un alexandrin)

Un week-end enflammé pour les vipères

Tout a commencé le vendredi 14 novembre 2008. Nous fêtions dignement, de façon prématurée mais néanmoins voulue, l’anniversaire de F.. L’alcool coulait à flot et les corps ont mû au son de la playliste utilement préparée à l’avance, comme les sympathiques coktails de rhum-carambar, par F. C’était aussi pour P. & D. l’occasion de célébrer les 1 an de leur rencontre qui avait eu lieu pour la même occasion chez F.. La disposition de l’appartement ayant changé, nous n’avons pu reconstituer la scène mais ne vous inquiétez pas ils se sont rattrapés après…

Samedi 15 novembre 2008 après avoir tenté d’éliminer nos excès de la veille par diverses activités (glandage sur canapés moelleux, cours de bondage accélérés, boutiques pour les plus courageux…), nous attendions avec impatience le concert de nos idoles. Nous savions plus ou moins à quoi nous attendre et c’est débordant d’excitation que nous nous sommes rendus au concert. SEXY SUSHI, ceux qui depuis des lustres nous permettent de faire des attentats musicaux dans les soirées molles, étaient enfin de retour dans notre ville rose pour foutre le bordel. Sur scène, Mitch et Rébecca ont tout donné, surtout Rébecca. Le public était beaucoup trop mou (sauf nous) et ils ne se sont pas gênés pour nous le faire savoir. Insultes au public (vous n’êtes que des petites Maria Carey), paroles de chansons tronquées violemment, bouteilles d’eau jetées à la gueule des gens, sauts sur humains pas très consentants, incitation à la nudité en groupe et à la destruction des lieux, service d’ordre dépassé par les événements et comme punition, car nous aimons tous ça, une reprise de Cascada… Rébecca la Warrior était au top de sa forme, du vrai n’importe quoi et c’est pour ça qu’on l’aime. Cet instant digne d’une performance post-punk-apocalyptique n’a laissé personne indemne. C’est donc plein d’énergie bouillonnante et touchés par la grâce que nous nous sommes rendus ensuite à la soirée de B. qui étaient déjà bien entamés (la soirée et B.). Comme à leur habitude B. et ses colloques avaient assuré. Le sport était à l’honneur et tout le monde avait pris son EPO pour durer jusqu’au bout de la nuit. Certains ont flirté mais pas longtemps et d’autres ont prié les dieux des excès de les laisser un peu en paix car il y a bien un moment où il faut arrêter de faire la guerre au temps-qui-passe-trop-vite et dormir.

Nous nous souviendrons longtemps et avec nostalgie de ce week-end.

RIEN A FOUTRE DU GHETTO !!!!