Le sex-appeal de la policière nous fait mouiller devant derrière, dans son uniforme super moulé, les nichons tout pointés.
En manque de vacances ?
À peine l'automne, on craint déjà les grosses chaussettes, les manteaux épais et les mouchoirs pour notre nez qui coule. L'été nous manque. Sa chaleur. Sa chair offerte et dorée. Sa facilité et son insouciance. Exposez-vous donc à ses quelques images. J'espère qu'elles rappellerons les bons moments que nous avons partagés. Plus ou moins chauds. Plus ou moins offerts. Plus ou moins faciles.
À voir dans le détail !
Le point R. : D., Enfin !
Mardi soir je rencontrais enfin D. dont je ne connaissais que le gilet en laine noire et la main droite nue sur un parquet. Je dis « enfin » parce qu'il faisait partie de mes premières conversations sur la messagerie de rencontre. Un record de vas-et-viens avec pas moins de 468 messages échangés sur 4 mois. Il était temps de passer au réel.
Rendez-vous fût pris place de la Trinité, au bar le plus libre. Je ne connaissais rien de son visage, refusant qu'il m'envoie toute représentation. Je préférais le découvrir. Arrivé 10 minutes en avance, je me mis à détailler les participants malgré eux. Regardant attentivement chaque nouveau visage entrant sur la place. Parfois avec appréhension, parfois avec espoir, parfois avec certitude. Je le reconnu de suite.
Son iPhone blanc à la main, le fil de ses écouteurs courant sur une chemise blanche à rayures bleus dont les manches étaient sagement repliées découvrant des avant-bras virils. Grand, me cherchant du regard, il était beau. Je m'avançais pour le saluer, une main sur son épaule.
Nous avons parlé, comme à notre habitude, de cinéma, de musique, de la vie. Il est juriste et cherche un emploi. Une situation pas très stable puisqu'il me dit qu'il peut partir n'importe où en France s'il trouve un poste. Il me montre les photos de son appartement qu'il a décoré dans un mélange de récupération, de neuf, de blanc et de vert. Je découvre alors que je n'ai pas d'argent. J'avais tout laissé chez le chinois à midi. Lui, au chômage, me propose un second verre, me disant que je lui en offrirai « la prochaine fois ».
La rencontre fût courte car il mangeait chez ses parents qu'il voit 3 fois par semaine (!!). Il jouait au golf ce weekend « mais pas dans un club guindé ». Il passerait certainement du temps dans les Pyrénées. Un homme occupé. Un homme à suivre. Un bon homme peut-être. Un charmant sans doute.
Leigh Bowery
Voilà une petite performance du grand Leigh Bowery. Il chante comme une casserole mais regardez bien jusqu'à la fin car ça vaut le coup….
Moving on up
L'avenir nous appartient. Tenons-le bien fort par les couilles !
Just who do you think you are?
This time you've gone too far.
Just who do you think you are?
Take it like a man baby if that's what you are.
'Cos I'm moving on up. You're moving on out.
Movin' on up. Nothing can stop me.
Moving on up. You're moving on out.
Time to break free. Nothing can stop me,
Yeah.
Capri c'est fini
Voilà, l'été c'est fini… alors à tout ceux qui se demandent ce qu'il se passe nous vous répondons que nous nous transformons en Zombis tout en restant vachement sexy…
Selon toute vraisemblance, rien ne se passe
Selon toute vraisemblance, rien ne se passe. Pourtant on se sépare, on se rencontre, on écrit des histoires, on en raconte à d'autres. On a des repas de familles et de longues discutions. On cherche du boulot, on en trouve. On cherche l'amour, on cherche encore. La fin de l'été nous glace la nuit, que l'on soit seul ou plusieurs. Le crousti se fait pauvre car les amis nous sont chers. Alors on se rencontre et on se quitte en toute discrétion. On trouve le réconfort de nouvelles amitiés. Pas de soirée depuis 1992. Pas de cuir, pas de paillettes, pas de doigts, pas de moustaches. Le manque. Et pourtant la promesse d'une rencontre.
La plus grande choregraphie du monde!
Ils étaient entre 13000 et 14000 à Mexico pour le record du monde! Just so cool!