A quoi ça sert de danser quand on peut avoir une bonne fessée !!!!!!!!!!!
Vipere's electrofuck discosuicide party 2008/07 - invitation
Chers amis, proches zé lointains, chauds zé humides, glabres zé poilus, fous zé lucides… Voici ce vendredi que s'annonce une nouvelle vipère's electrofuck discosuicide party. R. et J. nous accueillent dans leur nid d'amour à Bourrasol (les plus dégourdis trouveront). Le thème est bitch'n'glitt (des promesses).
Venez donc heureux zé chaleureux, avec un minimum d'accessoires et une bitch attitude à faire frémir britney spears sous extasy.
La vie, les papillons
La vie c'est pas les fleurs et les petits papillons.
It's all over your face
Parce que les rappeurs gay ça existe aussi, je vous présente Cazwell avec Amanda Lepor en guest dans le clip…
La mystérieuse soirée de E...
Aujourd’hui personne n’est sans savoir que E. avait mystérieusement disparu dans la nuit du jeudi 03 Juillet 2008. Que s’est il passé pendant cette soirée pour que E. se réveille à l’hôpital ? De la bouche du principal intéressé, il serait malencontreusement tombé d’un muret… Où ? Quand ? Comment ? Pourquoi ? Etait-ce vraiment un muret ? Autant de questions qui sont restées sans réponses. C’est pourquoi les vipères ce sont réunies afin d’élucider ce mystère. Comme dans « FBI Portés Disparus », la première étape était de reconstituer l’emploi du temps de E. avec les informations que nous avions pu glaner de-ci de-là et en recoupant les témoignages de personnes souhaitant garder l’anonymat. Puis dans un second temps, nous avons émis des hypothèses toutes plus probables les unes que les autres mais qui restent cependant des hypothèses. Voici le résultat de nos tergiversations autour de ce thème.
Jeudi 03 Juillet 2008, 21h30 : V. la colocataire de E. rentre d’une journée éprouvante en émotions. Elle trouve un E. bouffi d’angoisse qui lui lance : « Mais où étais tu ? Bon sang de bordel de merde ! ». Devant un réaction aussi inattendue de la part de E., V. s’est recroquevillée dans un coin sans parler à son colocataire des nouveaux faux cils qu’elle avait piqué à une drag queen de 2m20 pendant les soldes. Enfermée dans son mutisme V. ne se doutait pas encore de la tournure que les événements allait prendre.
Toujours Jeudi mais à 21h42 : E. part à un bal occitan avec son amie révolutionnaire A. . Sur le pas de la porte G. lui dit avec un air de Giscard d’Estaing : « Bonsoir », suivi d’un claquement de langue. Se fût la dernière fois qu’il vit son amant, selon ses déclarations.
Les événements suivants se passent à des heures qui restent indéterminées.
S. un ami de A. , colocataire de E. et petit ami de A. ancienne colocataire de E. , aperçoit E. dans la foule qui borde le Filochard. Nous avons déduit que cela devait être avant 2h du matin.
De source sûre E. déposa son sac à dos aux vestiaires de la célèbre boite à morue toulousaine où E. échoue sa carcasse quand il a trop bu : Le Shangaï. D’après nos estimations nous pensons qu’il devait être plus de 2h du matin.
Samedi 05 Juillet 2008 à au moins 11h du matin : Alors que toutes les vipères étaient mortes d’angoisses et encore bourrées de la veille E. revient à la maison après 24h d’examens médicaux (radios, prises de sang, analyses d’urine et de salive, urétrocystographies et urétroscopies, coloscopies…) subis à l’hôpital de Plouguignac-sur-lèze. C’est avec un œil empourpré, des petites griffures sur le nez et un traumatisme crânien que V. à retrouvé E. au milieu du salon.
Samedi 05 Juillet 2008 à au moins 22h32 du soir : Les vipères purent elles aussi, se rendre compte que quelque chose s’était passé en découvrant E. le poil terni et l’œil torve déclarant ne pas vouloir trop boire à cause de ses fraîches blessures et de son petit corps meurtrit.
Nous n’avons eu le temps de dresser que deux hypothèses, que voici :
- G. aurait jeté E. contre un mur, fou de rage pour une raison qui nous échappe.
- E. se serait fourvoyé avec un groupe de lesbiennes chinoises ou polonaises dont faisait partie une naine rousse avec un pied bot et l’autre plat, un bec de lièvre mettant bien en lumière ses aphtes chroniques, une paupière tombante et des signes évidents d’une trépanation récente. Ensemble, ils auraient joué à se hisser les uns sur les autres afin de réaliser une pyramide phallique. E. serait tombé de son sommet. Sa chute fût amortie par la naine.
Si vous avez d’autres suggestions, n’hésitez pas à nous en faire part ici. Rappelez vous que chaque détail et témoignage peut être important pour que la vérité jaillisse enfin !
Amen
Prendre son envol
Ce week-end, samedi à 10h15 pour les premiers, nous avons pu assister au premier vol solo de notre hirondelle préférée. Hé oui, c'est les bras chargés d'objets hétéroclites discos et sexuels que O. s'en est allé faire son nid SEUL… rue de la providence. Fruit du hasard ou du destin, nous espérons que la rue éponyme lui sera de bon augure. Nouvelle vie, nouveau nid, O. devrait très vite repeindre tous les murs blanc-hôpital à la façon de Blondine Arc-en-ciel . Ainsi il sera prêt à traîner dans son antre tous les jeunes-indécis-qui-ne-comprennent-pas-les-subtilités-de-la-vie, pour les initier aux joies de Twister .
Vas y O !! on est avec toi !!!
On a hâte de voir les photos
Prendre son numéro
En 2003 O. avait 24 ans et il rencontrait R. au café populaire. Attiré par sa lumière et sa chaleur, O. fît son possible le lendemain pour obtenir sa position afin de poursuivre sur sa peau.
Ce soir là, attendant informations et confirmation de la part de Y., O. découvrît Feist, et sa reprise des plus entrainante de Love You Inside Out. Un message :
- Y. : « Il est au Nain Jaune »
- O. l'y rejoint.
Plus tard dans la soirée, après que les amis de R. se soient gentiment éclipsés de l'intimité de son appartement, O. découvrît l'homme : son poil, sa douceur, ses lèvres et son voisin qui tapa alors qu'O. découvrait son lobe.
O. rentra le cœur joyeux ce matin là, ayant prit soin de noter le numéro de téléphone de R., sur quelque chose qu'il ne risquerait pas de jeter.
Petit Fennec Marbré
En plein cartons pour cause de déménagement on se prend de nostalgie à la redécouverte de choses et de mots. Un petit tribut à toi ma S. de love et à nos années de merveilleuse amitié, même si des fois on est un peu loin.
« Petit Fennec Marbré
Velu en hivers, tondu en été
Tu batifoles dans l'herbe haute
tu roule-boule sur toutes les mottes
Et quand tu te mires dans la
flaque de la cascade asséchée
Tu réalise ta vraie identité
Sur tes deux puissantes jambes tu te tiens
Ton corps de muscles est constitué
Tu es un homme petit salaud » – S.
Vivre sur Vidéo
« Je vis une vie magique dans un écran cathodique. Dans un monde coloré, je me prends à rêver. Stop. Vivre sur vidéo. Les circuits intégrés. Sur un faisceau de lumière. C'est une vie fantastique. Un monde de lumières magnétiques. Au milieu des données, je voudrai me programmer. » – Trans-X
Merci à P. pour ses compilations qui m'ont rafraichi l'œil sur les années 80.
Tekno Love Song
Je suis tombé amoureux d'un homme mauvais.
Depuis que je t'ai rencontré je suis triste.
Un oiseau dans la cage de ta musique.
Un criminel dans tes prières.
Je te regarde dormir, même quand tu n'est pas là.
Les couleurs délavées de l'arc-en-ciel jonchaient les rues quand tu es parti.
Peut-être qu'un jour on se retrouvera.