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Le blog de ceux qui ont assez d'amis pour en dire du mal

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Étiquettes / Chevalier

GIF du dimanche

Posté dans Le point par Asthik

Naaaa, naa, nananaaaa, naaa, nanana, dun nanana, dun nanana, dun nanana, dun nanana. Naaaa, na, nananaaaa, naa, nanana.

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Cendrillon, ce jeune homme noir et gay

Posté dans Musique par Asthik

Et si Cendrillon était un jeune homme rêveur, noir et gay. Ça aurait de la gueule putain ! :)

80's fever#2

Posté dans Souvenir par Pseudo.me

parce que je suis au chomage et j'ai que ça à foutre….

Une retraite bien méritée pour nos justiciers masqués

Posté dans Musique par Asthik

Ça me rend heureux de voir Batman et Robin profiter de l'été. J'espère que le notre sera aussi beau.

Attention !!! Soirée le samedi 13/09/2008

Posté dans Annonce par Herr.ektor

Oyé oyé vipères en tous genres !!! En ce mois de septembre où la ville se réveille enfin de son mois d’août mou en événements, quoi de mieux que de lancer les hostilités en tenant une petite soirée à l’occasion de mon 21th (+10) birthday, le samedi 13.

Le fétichisme et ses accessoires seront au centre de la soirée. Cependant conscient que la plupart des participants n’oseront pas se montrer sous leur meilleur angle, un point commun entre tous sera exigé ; ce soir là ce sera : FAUX CILS ET MOUSTACHES.

Maintenant que vous êtes prévenus, laissez décolorants et rasoirs au placard ! Vous pouvez toutefois utiliser l’artifice de postiches sous toutes leurs formes et couleurs que vous vous collerez où bon vous chante.

Avec tous ces poils, vous pourrez onduler telle une algue sur un son résolument électrofuckdiscosuicide, à partir de 21h, avec beaucoup d'électrofuck et peu de disco, mais surtout les tubes aux paroles explicites que nous affectionnons tant.

N’hésitez pas à vous autoriser toutes les excentricités dont vous rêvez.

Sachez toutefois que les personnes qui ne joueront pas le jeu seront sévèrement réprimandées voire même punies.

Le ton est donné, cette rentrée se fera sous le signe de l’exigence.

Tekno Love Song

Posté dans Musique par Asthik

Je suis tombé amoureux d'un homme mauvais.

Depuis que je t'ai rencontré je suis triste.
Un oiseau dans la cage de ta musique.
Un criminel dans tes prières.
Je te regarde dormir, même quand tu n'est pas là.

Les couleurs délavées de l'arc-en-ciel jonchaient les rues quand tu es parti.
Peut-être qu'un jour on se retrouvera.

30 ans de B., ou comment les lesbos ont disparu

Posté dans Vipère party par Asthik

Hier soir c'était le joyeux anniversaire de B. qui entre bien malgré lui dans le second tiers de sa vie, rejoignant quelques autres qui se sentaient seuls et vieux. Soirée très sympathique où les hommes étaient beaux et les filles pas mal. Boisson, cake, gâteau au chocolat. Puis, au fur et à mesure que le sol devenait plus amoureux de nos chaussures, nous jouant quelques tours (j'en ai vu finir dans des portes), tout a basculé.

On prévient toujours, mais c'est inévitable. Il ne faut pas inviter les lesbiennes-babos (ou lesbos), elles sont bien trop pénibles ! O. essayant d'entrainer, et d'étrenner, les jolis gens au son du disco dans une nuée de paillettes en a fait les frais. Despotiques de la playlist, handicapées du double-clic, il était quasiment impossible d'écouter une chanson dans son entier. Pas plus possible que de se déhancher en tout bonheur au son du « Call Me » de Blondie. Que la foule, emportée par le beat, conspue aux coupures brutales n'y changeait rien. Après qu'une dizaine de personnes aie tenté d'éloigner ses harpies de l'objet vital de la soirée (l'ordinateur qui joue la musique), O. décida de prendre les choses en main, comme il aime à le faire, avec toute la délicatesse et la diplomatie qui le caractérise.

« J'espère au moins que tu te rends compte que tu fais chier tout le monde à couper la musique sans arrêt ? À moins que tu fasses tellement de rétention annale qu'il t'es impossible de lâcher le contrôle de cet ordinateur, auquel cas je pourrai compatir. »

O. aurait pu s'en douter : la lesbos accepte difficilement les remarques masculines, même des plus perspicaces. À ce moment précis où la musique est coupée, où les corps en danse terminent leurs mouvements, où les yeux se tournent, cherchant une explication, où tout flotte comme de la bave dans un verre de coca-cola, la lesbos se lève.

Vociférant, elle pousse O. violemment, faisant tomber son serre-tête chevelu qu'il avait mit une heure à confectionner. Et là tout s'enchaine en moins de temps qu'il n'en faut pour dire « sado-maso ».

V., chevalier de chaque instant de O., surgit tel un cabri pour le réceptionner et s'interposer. Les mots fusent. Les gestes volent. Quand tout à coup, comme invoquée du néant, l'alter ego de la lesbos fond sur V., des deux côtés à la fois, dans un espace devenu surréaliste et improbable, et le frappe au visage avec un pilon à cocktails, lui brisant deux dents d'un geste rageur.

La foule se presse.
Des mains en surgissent et les saisissent.
Puis plus rien.
Le confort de bras chauds et humides.
Des caresses dans les cheveux.
Des cris qui s'éloignent au loin.
Une étreinte qui se relâche, rassurée.

Les lesbos ont disparu.

Furie lesbos