Parce que j'ai passé trois jours allongé sur le canapé à regarder des séries pendant que je me remettais de mon accident, voici quelques GIF du dimanche « Séries ». Passez une bonne semaine les petites vipères, et faites attention sur la route.

J'avais découvert « ceo » (Eric Berglund) en 2010 grâce à sa reprise magnifique du « Halo » de tata Beyoncé. C'est pas rien de passer derrière tata, elle avait déjà fait un bijou et surtout on l'entendait en boucle partout, même dans mon cours de Body-balance. Et pourtant, le miracle.

Son album White Magic était (est) de toute beauté. Ce sont d’abord les mélodies et les arrangements virtuoses et odacieux qui marquent, et puis on s'attache aux paroles et on aime ce « ceo » qui chante le bonheur, on l'aime encore plus parce qu'il chante l'envie d'être heureux. Après 4 ans, le voici qui revient enfin avec un nouvel album « Whorehouse » (tout un programme), prévu pour le mois de Février, qui a l'air complétement génial. J'ADORE la direction artistique, je l'ai collé direct en fond d'écran de mon téléphone et il me tarde d'en faire un tirage. En attendant je me régale du clip « Selfie » et des extraits de son album.

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S'il suffisait d'un peu de whisky ça se saurait…

Blague à part, Steve Grand pourrait bien être un des premiers artistes de country ouvertement gay. C'est pas ce qui se fait de mieux en country, mais le texte est beau et la musique efficace. Le fait qu'il soit tout mignon aide aussi. Sa chanson est en écoute sur Bandcamp.

Il n'a pas de maison de disque et ça n'a pas commencé facilement, avec ses parents qui l'on forcé à suivre une thérapie de réorientation sexuelle. Il est touchant ce petit, et je lui souhaite bien du bonheur.

On l'attend. Il nous caresse, s'enfuit, puis revient à nouveau. Êtes-vous prêts pour l'été ? Êtes-vous prêts à franchir la ligne ?

Nous entrons dans une salle immense, décorée finement de dorures complexes. De lourdes tentures de velours rouges dégoulinent d’un plafond lointain et viennent s'écraser sur les murs en vagues successives. Des chérubins souriants nous accueillent avec une expression heureuse sinon figée. Des vitraux de cristal frappés par un soleil généreux projettent des arcs-en-ciel sur notre peau à mesure que nous avançons et que nous nous dispersons pour poser nos tapis de sol et nos sacs.

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