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Le blog de ceux qui ont assez d'amis pour en dire du mal

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Muscle March

Posté dans Faits divers par Asthik

Maintenant que j'ai une Wii je vais passer des dimanche encore plus géniaux avec mes amis :

Capri c'est fini

Posté dans Faits divers par Herr.ektor

Voilà, l'été c'est fini… alors à tout ceux qui se demandent ce qu'il se passe nous vous répondons que nous nous transformons en Zombis tout en restant vachement sexy…

Selon toute vraisemblance, rien ne se passe

Posté dans Faits divers par Asthik

Selon toute vraisemblance, rien ne se passe. Pourtant on se sépare, on se rencontre, on écrit des histoires, on en raconte à d'autres. On a des repas de familles et de longues discutions. On cherche du boulot, on en trouve. On cherche l'amour, on cherche encore. La fin de l'été nous glace la nuit, que l'on soit seul ou plusieurs. Le crousti se fait pauvre car les amis nous sont chers. Alors on se rencontre et on se quitte en toute discrétion. On trouve le réconfort de nouvelles amitiés. Pas de soirée depuis 1992. Pas de cuir, pas de paillettes, pas de doigts, pas de moustaches. Le manque. Et pourtant la promesse d'une rencontre.

Rezog092009

Alex au pays des merveilles (2)

Posté dans Faits divers par Herr.ektor

Nous étions nombreux à avoir répondu présent à l’appel de la secrète Fraise Vinyl qui avait été relayé sur ce blog, suffisamment pour remplir un bus d’une quarantaine de places. Tels des élus, nous étions fiers, nos parapluies à la main, de participer à cet appel mystérieux et attractif comme un chant de sirènes dans lequel nous avions toute confiance et qui pourtant aurait pu nous mener de Charybde en Scylla. La destination ne serait pas celle-là et nous en étions sûrs. C’est donc plein de doutes et de certitudes que nous nous sommes rendus au lieu-dit et à l’heure dite pour commencer le voyage. Un bus nous attendait et deux jeunes femmes encadraient les portes d’entrée grimées en hôtesses de l’air. Après un rapide check-in, les passagers purent embarquer pour l’inconnu. Les hôtesses jouèrent leur rôle en indiquant règles et consignes de sécurité à suivre pendant le trajet. Une feuille de papier, avec des symboles inconnus au premier abord, fût remise à chaque participant et tous furent priés d’écrire un mot et de plier le papier comme il le convenait jusqu’à l’obtention d’un petit bateau. Toutes ces embarcations fragiles furent récupérées par les hôtesses à notre sortie du bus.

Arrivé à destination. Petit jardin à traverser avant d’entrer dans le vif du sujet. Sur le qui-vive, nous pénétrâmes une grande bâtisse aux allures de château. Les discussions se firent discrètes.

Au bout du couloir sombre, une première fille muette se tenait debout, une lampe de poche à la main, faisant glisser la lumière sur son corps habillé de vêtements baroques. Le ton était donné.

Une première salle, lumière crue, deux filles, l’une debout le regard perdu, chérissant un canard et l’autre prisonnière d’une bulle de plastique transparent, cherchant une sortie, déchirant l’enveloppe pour respirer. Femme prisonnière, femme corsetée, belle étouffée qui cherche sa liberté.
plastik
Deuxième salle, éclairage tamisé. Deux filles nues le corps recouvert de paillettes, lascives sur une table. Entourées de verres pleins d’une mixture crémeuse à la fraise, elles s’embrassaient langoureusement et ne s’arrêtaient de se lover que pour distribuer les verres aux invités, voyeurs interdits de leur intimité. Une chanteuse lyrique distillait une mélopée enveloppante de douceur tandis que les nymphes continuaient leurs tendres faveurs et le public goûtait avec ferveur aux douceurs sucrées qui lui étaient servies dans les verres. Femmes libérées, serviles et assumées.
naiades
Troisième salle, une véranda pleine de ballons blancs, une femme dans une cage de plastique admirant les petits bateaux de papier blanc suspendus, que nous avions pliés dans le bus et nous échouons dans un jardin accompagnés d’une mer de ballon. Femme esthétique passive ou pensive, muette délibérée ou désespérée.
balons
Une fois rassemblé dans le jardin, le public fût invité en entrée à écouter un petit concert lyrique et à se rafraîchir d’une sucette en forme de cœur au gingembre et au piment d’Espelette. Un peu plus loin quatre filles nous attendaient sagement assises sur des balançoires accrochées à des arbres majestueux. A la main, elles tenaient un arrosoir et distillaient à qui le voulait de l’eau agrémentée de sirop aux goûts différents. C’est là que les parapluies étaient utiles.
balançoire
Nous avons pu ensuite nous vautrer sur des coussins et couvertures disposés dans l’herbe et assister en plat principal à un concert excellent de Fragile Architecture associé à un velouté d’asperge et sa noix de Saint-Jacques puis en dessert un mix original de Dark Side of the Funk accompagné d’une banane au chocolat et d’une délicieuse mousse au gingembre.

Puis il fût l’heure de partir, le bus nous attendait. Retour à Toulouse avec un goût amer, dégrisés comme après une petite mort.

Alors MERCI Fraise Vinyl pour ce voyage allégorique au coeur d’un appareil (re)productif féminin : au départ les ovaires dont quelque chose veut sortir puis l’utérus où l’amour se fixe, enfin le vagin et l’accouchement de la vie qui poursuit son cours au jardin des délices et de l’envie.

Encore une fois nous fûmes transportés dans un univers au goût de rêve et de fantasme où des naïades nous servent de nourriture esthétique. Étrange sensation, comme l’impression d’avoir croqué dans une fraise au vinyle, d’avoir basculé comme Alice dans un pays de merveilles, dans un rêve éveillé, d’avoir pris du LSD, de pénétrer l’inconscient d’une artiste passionnée.

Selon toute vraisemblance, rien ne se passe

Posté dans Faits divers par Asthik

Non évidement rien ne se passe. Pourtant sous la pression de ses pairs O. se demande s'il devrait se faire enculer par le premier venu ou P. pourquoi pas. Dans un labyrinthe où on roule des pelles en disant bonjour aux nus perchés sur des slings. Et alors que des couples battent de l'aile, d'autres se forment et certains gagnent des prix dans des concours de BD. On devient tous vieux et à mesure que les dates se rapprochent on se prend à se sortir les doigts du cul. On cherche des apparts. On cherche des maisons. On cherche des mecs. On cherche des meufs. Alors que certains adoptent par glissé-déposé des hommes dans univers virtuels. D'autres, inspirés, s'inscrivent et épaulés par une amie envoient un message :

« Je reviens du Gaumont où j'ai subit « Star Trek » et je trouve ton profil bien plus rempli de suspens. On se voit pour une première séance ? »

Espoir du soir, câlins dans le noir. Je te dirais les mots blues. Les mots que l'on dit quand on est vieux.

PS: Y'en a qui se font bouffer la chatte dans des escaliers !

Le talent n'a pas d'âge

Posté dans Faits divers par Herr.ektor

Voici une vidéo qui fait un vrai pied de nez à tous les canons de beauté télévisuels habituels et qui nous rappelle qu'on peut être vieux et moche et enivrer les foules..

Nous lui pardonnerons le choix de la chanson car l'interprète nous rappelle combien certain(e)s peuvent être d'une platitude extrême.
Alors oui !! le talent n'a pas d'âge et nous avons encore le temps…

Selon toute vraisemblance tout le monde se casse

Posté dans Faits divers par Herr.ektor

Après le déchirement provoqué par le départ de J&R., notre bande de vipère se retrouve amputée à nouveau d’un de ses membres fondateur E. Toulouse deviendrait elle l’amante syphilitique délaissée par ses conquêtes, pour Paris l’ogresse qui dévore sans complexe quiconque tombe dans ses bras pollués ? Toulouse se délite de ses élites, comme un coléoptère de ses élytres agonisant au sol en attendant qu’un prédateur l’ingère.

Les survivants souffrent du syndrome du membre fantôme, se refusant à croire qu’encore une partie de leur corps a disparue à cause de la crise. Nous ne serons bientôt plus qu’un tronc gisant dans la rue, vivant de mendicité auprès des passants désabusés, pleurant nos souvenirs de courses folles dans les rues de la ville pour mettre le feu à toutes les fêtes molles. Toulouse deviendrait-elle lisse au point que plus rien n’accrocherait sa peau ? Sommes nous destinés à être les esclaves de nos angoisses de morcellement ? Est-ce là le crépuscule pourrissant des poètes, la décrépitude annoncée par les livres sacrés ?

J’ose espérer croire que le thème de 2009 sera salvateur pour la bande de vipères handicapées que nous sommes. Nous nous devons de développer nos activités à but non lucratif mais ludique et telle l’hydre de Lerne faire que nos têtes se régénèrent doublement lorsqu’elles sont tranchées. Que nos exilés se rassurent nous les accueilleront toujours les bras ouverts comme les femmes des armées de croisés partis à la recherche d’un Graal jamais trouvé, qui pouvaient enfin laisser de côté leur ceinture de chasteté. Nous ne serons peut être pas aussi fidèles mais nous seront pardonnés, excusés par la distance nous danseront pour oublier votre absence.

We love you

Dénouement d'une crémaillère sanglante

Posté dans Faits divers par Asthik

Ayant porté leurs vidéos de participation pour la soirée projection xxyz, V. et O. s'en allèrent boire du blanc chez X. si proche.

De rires en chansons, de clips en boissons, la conversation en vint à la fameuse crémaillère où O. fût mordu au sang.

Après trois mois, les stigmates étaient tout ce qui restait de tangible du souvenir ambigüe d'une folle soirée. Bien sûr O. avait essayé d'en savoir plus sur l'homme qui l'avait gouté, mais le fil entre les gens qui se connaissent était effilé et O. ne parvenait pas à la renouer.

Pourtant, au remplissage de verres la conversation prit une tournure inhabituelle quand X., l'air de rien, annonça l'incroyable : Wolverine était passé quelques jours après la fête pour laisser son numéro de téléphone à l'attention d'O. afin qu'il puisse lui présenter ses excuses.

!!! (trois points d'exclamations)

Ainsi Wolverine avait retrouvé le chemin de la rencontre, mais le dit numéro, prit à la hâte sur le tableau colocataire, au milieu des commissions pour la semaine et des recommandations concernant les toilettes de la cuisine, fût effacé sans le moindre palimpseste. Le temps était écoulé et l'appel de R. ponctua la conversation.

Après avoir pourri X. pour son manque d'efficacité à rapprocher les gens, V. et O. partirent retrouver R. et J. non sans mettre le feu à la cuisine.

La soirée s'avança donc : de projection en bière, de bière en marche, de marche en bar, de bar en bière… Peut-être était-ce des signes, mais O. retrouva de nombreux visages passés ce soir là, et alors qu'il rentrait en la compagnie des ses amis depuis peu exilés à Paris, alors même qu'il habitait à deux pas dans le sens contraire, la providence plaça des rouflaquettes familière sur le chemin :

O. : « Je te connais non, tu m'aurais pas mordu ? »

Il s'appelle Obwari.

Rencontre avortée

Posté dans Faits divers par Asthik

« Quand tu es arrivé je t'ai remarqué tout de suite et je me suis dis : il a de très beau yeux, par contre il a une coupe de merde ».

W est partit pour de nouvelles aventures

Posté dans Faits divers par Herr.ektor

Tout le monde le sait mais personne n'écrit rien. Je me dévoue donc enfin.

W. est partit en ce début de mois pour de nouvelles aventures dans un pays encore peu exploré et peut être même inhospitalier. Il serait déjà arrivé en terre inconnue et se livrerait à des activités nouvelles et rémunérées pour le compte du consulat Français. D'après nos informateurs pas toujours très clairs (vodka et traduction approximative oblige), sa mission serait d'infiltrer la Jet set de Krakovie en Moldavie et d'apprendre à la gente féminine autochtone à parler Français afin de trouver une remplaçante à la gentille mais néanmoins croulante Régine. Une chose est sûre en tout cas, les Krakoviennes ne sont pas les blondes pulpeuses dont rêvait W.. Déception ?? Découverte ?? Nous en saurons peut être plus dans les semaines à venir…

Je profite de ce message pour rappeler de façon pas très subtile que nos idoles viendront se donner en spectacle Samedi soir et que nous ne pouvons nous permettre de pas être de la partie. Alors j'en appelle à l'organisation pour tous les vipérois et vipériennes afin que chacun puisse en profiter de la manière qu'il préfère.