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Le blog de ceux qui ont assez d'amis pour en dire du mal

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Étiquettes / Performance

Teaser Threesome Party

Posté dans Vipère party par Wank4me

Un teaser pour vous mettre l'eau à la bouche… ou ailleurs, en attendant la fabuleuse Threesome Party qui pointe le bout de ses stilettos dorés. Inscrivez-vous à l'évènement sur Facebook

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C'est d'abord la voix dorée de Lilja, caressante et troublante, qui nous invite sur les flots. Alors que nos sens s'éveillent et que nos cœurs chavirent Burnsfield nous transit. Les mains aux étoiles, le souffle court, le poil humide, c'est le moment qu'attendront les vipères pour nous prendre et nous faire oublier la nuit, dans un mélange d'électro, de sueur, de sourires et de paillettes.

Il faut dire qu'avec 7 langues, 140 doigts et 16 orifices, il y aura de quoi faire dans ce threesome musical.

PAF: 3€ et un bisou

http://www.noomiz.com/liljaandersen/
http://burnsfield.bandcamp.com/
http://www.blogvipere.com/

On vous aime !
mais pas trop

Citizens : True romance

Posté dans Couple par Ovaria

Soirée Divine ou les tribulations d'Herr.Ektor

Posté dans Faits divers par Herr.ektor

Je l'attendais ce weekend avec impatience. Depuis que j'avais vu passer l'information annonçant que le Jerk Off s'associait à Mercredi Production pour nous proposer un weekend hommage à Divine, j'étais dans tout mes états. Divine, la grande prêtresse du trash 80 allait revivre le temps d'un weekend à Paris et je ne pouvais me permettre de louper cela. Je me suis donc rendu à la capitale pour assister à ce petit festival, plein d'espoir et d'envie devant une programmation qui me faisait rêver. Ne pouvant me permettre d'y assister les deux soirs, j'ai choisi d'y aller le samedi en compagnie de G, que nous appelleront Princesse Cyprine pour garder son anonymat.

Nous nous sommes retrouvés dans le 18ème, histoire de s'échauffer avant la soirée. Un cassoulet maison, deux bières et une demi bouteille de vodka plus tard nous nous retrouvâmes plein d'entrain, devant les portes du Point éphémère qui s'ouvrirent à notre arrivée. Question timing nous étions bons. Il ne nous restait plus qu'à parfaire nos maquillages, armés d'eyeliner et de paillettes, devant les grilles de l'entrée histoire de briller un peu, et par autre chose que par notre tôt d'alcoolémie qui commençait à croître. C'était aussi notre façon de rendre hommage à la grande prêtresse Divine.

La soirée s'annonçait bien, nous étions dans les premiers arrivés, nous avions le temps de boire quelques autres bières en attendant que le monde arrive un peu et de profiter d'avoir encore de la place pour danser. J'attendais aussi avec impatience la performance annoncée de Piersten LEIROM & David LENHARDT (voir ici ). En attendant, Princesse Cyprine et moi même faisions des aller-retours entre le dancefloor, où la musique tintée de sons des années 80 faisait gigoter le public grandissant, et le fumoir, qui ne se vidait jamais. Nous y avons d'ailleurs rencontrer un brésilien de Montpellier, un faux suisse blond de Paris, un vrai suisse brun barbu de Genève et pleins d'autres personnes plus ou moins intéressantes et intéressées, plus ou moins droguées, sevrées ou alcoolisées.

Notre amie V., que nous nommeront la bourlinguette, nous rejoignit dans la soirée et alors que je me questionnais à voix haute sur l'heure de passage de la performance, elle me dit avec entrain : « Ça vient juste de finir, tu l'as pas vue ? Ils ont fait des trucs trash avec un balais à chiotte! ». Je n'en croyais pas mes oreilles alors je me mis à râler. Mes deux compères durent me calmer en m'offrant une autre bière et m'amenèrent d'urgence me mêler aux beaux hommes qui dansaient à moitié nus. Après la frustration, un peu de danse topless ne pouvait que me faire du bien. Sur le chemin, alors que nous essayions de nous frayer un passage devant les toilettes pour rentrer dans la salle pleine de gens en sueur, un jeune fille bien blanche de figure nous demanda, les lèvres tremblotantes, où étaient les toilettes et rajouta aussitôt : « Je crois que je vais vomir ». Aussitôt dit, aussitôt fait, nous eûmes juste le temps de nous décaler pour la laisser faire sa petite affaire au milieu de tout le monde. Un jet blanchâtre constitué de bille, d'alcool et de reste de repas jaillit dans les airs et retomba au sol, en faisant un joli splosh dans l'indifférence générale. Une partie atterrit sur l'épaule de la fille qui la précédait sans que celle-ci, prise par sa conversation, ne s'en aperçoive. Écoutant notre cœur, nous l'avons tout de même prévenue qu'une giclée de vomi coulait de son épaule gauche vers son dos dénudé et nous la laissâmes à ses cris d'horreur et de dégoût. J'avais loupé la performance que je venais voir mais au moins j'avais vu une fille vomir sur une autre.

Plus tard, au fumoir le faux suisse blond m'embrassa puis disparu chercher une meilleure proie, ce qui fût un peu déconcertant au début mais finalement je n'avais rien perdu, quant au vrai suisse brun barbu, lui, il dansait et continuait sa soirée en s'amusant.

Toute la nuit nous n'avons eu de cesse de pailleter les gens parce qu'ils le réclamaient, enfin presque tous. Et encore une fois nous pouvons dire que les paillettes restent l'élément essentiel pour passer une bonne soirée.

Puis, la fatigue se fit sentir. La bourlinguette était partie avec sa petite amie moins bourlingue qu'elle. Le jour commençait à se lever. Il était temps de rentrer. Dans le métro désert je me suis rendu compte que je n'étais pas dans la bonne station, Princesse Cyprine décida alors de m'accompagner à pied, le long du canal. Il faisait froid, nous n'étions pas d'accord sur le chemin à suivre, j'en avais marre, mais j'avais passer une super soirée, des paillettes plein la tête, au sens propre comme au figuré. Ce soir là, l'esprit de Divine avait été avec nous.

DURAN DURAN DURAN DURAN DURAN DURAN

Posté dans Musique par Pseudo.me

Vipères' electrofuck discosuicide party le 28 avril au Beaucoup !

Posté dans Vipère party par Wank4me

Chers amis,

Samedi 28 avril, la middle-punk toulousaine vous prend dans le beaucoup.

Il y aura des paillettes, des gommettes, du ruban adhésif, de la musique géniale, une ambiance fabuleuse et des gens délicieux !

Alors mettez des chaussettes, votre plus belle culotte et rejoignez-nous !

Le blogvipere.

PS: On vous aime ! (mais pas trop)

VEFDSP 201204

Ready to Tango ?

Posté dans Art par Asthik

The Burger Girl - Talk To My A$$gency

Posté dans Musique par Asthik

Mon petit ami est un Zombi

Posté dans Musique par Herr.ektor

Mi Novio es un zombi (reprise d'une chanson espagnole des années 80) est la nouvelle chanson de Pierre Pascual (ex Chose Chaton, ex cartel Couture) et il vient de sortir un clip que voilà….

Il passe à Madrid quand j'y serai, j'espère pouvoir faire le reporter comme l'an dernier et rapporter une photo avec lui…

Et puis tant que j'y suis voilà aussi « J'aime sentir ta bouche glisser »

FraiseVinyl + Fragile Architecture

Posté dans Souvenir par Herr.ektor

Samedi soir dernier au Théâtre Garonne, FraiseVinyl et Fragile Architecture se donnaient en spectacle pour le bonheur de nos yeux et de nos oreilles. Pour ceux qui l'auraient loupée, voici un petit condensé d'une performance onirique à plusieurs mains.

Arrivée des musiciens. Tels des druides dont les capuches cachaient leurs visages, ils prirent place aux côtés de leurs instruments, prêts à nous faire vivre une cérémonie musicale mystique. Fragile architecture drapée de blanc au milieu d'une scène nue artistique. L'ambiance était posée et le public aussi.

Les premières notes s'élevèrent dans les aires, ondes éthérées pour oreilles éveillées, le chant vint danser avec les mélodies et les chansons douce-amères s'enchaînèrent pour remplirent l'espace. Puis, derrière les musiciens, une bâche noire tomba pour révéler son secret à la lumière d'un stroboscope. De grands ballons blancs s'envolèrent vers les cieux retenus par de longs fils couverts de pages blanches où nous pourrions écrire à l'encre invisible de la perception, les émotions qui nous traverseraient. De la nuit, au fond de la scène, naquit un tableau d'étranges femmes blanches aux têtes de lapins noirs, qui retenaient de leurs mains l'envolée des aérostats. Au début immobiles, elles entamèrent une marche rigide sans bouger de place. Elles arrivaient dans le spectacle et n'en repartiraient plus. Le concert continuait et les filles redevinrent interdites. La musique nous berçait et nous menait vers l'essence d'un univers onirique qui ne demandait qu'à nous envelopper. Et le si nous montions, semblait nous demander le son. frafra1 Lumière noire et silhouettes blanches, les formes féminines prirent vie. Certaines d'entre elles s'avancèrent droit dans le public, traversant la salle droit devant. Félines, elles montèrent sur les sièges pour passer à travers les rangées de manière animale. Elles offrirent à quelques personnes le bouquet de ballons qu'elles tenaient, puis allèrent se poster sur le côté des allées. Les autres encadraient les musiciens comme une armée de chimères. Il n'était pourtant pas question de combat mais nous étions conquis. Chacune pris place pendant que la mélopée allait crescendo. Nous n'avions plus qu'à nous laisser aller comme les ballons vers le plafond. Le rêve nous avait pénétré, englobé, nous en faisions désormais partie. frafra2 Le concert continua son ascension. Les chimères se mirent à danser lascivement une lumière à la main pour éclairer leurs corps et leurs culottes noires pailletées. Certaines laissèrent couler de leurs bouches une ombre liquide qui tacha leurs corps immaculés. La lumière se reflétait sur les strasses de leurs dessous sombres et elles continuèrent à danser dans l'ombre. La musique nous faisait monter jusqu'au moment où elle mourut en un son grave et continu. Les prêtres se retirèrent. La cérémonie se terminait. Il ne restait que les danseuses chimériques qui ondulaient en attendant notre départ. Nous avons été pris dans un rêve dont il fallait nous défaire. Nous devions maintenant le quitter car il ne demandait qu'à continuer à vivre un peu plus longtemps dans nos psychés.

Merci à FraiseVinyl et Fragile Architecture, nourrisseurs d'inconscients, pour ce magnifique espace temps, cette ascension orgasmique qui nous a fait jouir des yeux et des oreilles.

Big Freedia – Y’all Get Back Now

Posté dans Musique par Asthik

Big Freedia, l'évangéliste du Sissy Bounce, nous revient toujours aussi bondissant et plein d'énergie. Moins dangereuse pour nos lombaires que sa précédente performance, elle n'en reste pas moins un booty shake d'enfer. Yeah !