accueil
Le blog de ceux qui ont assez d'amis pour en dire du mal

:term

Étiquettes / Paillette

Vivre sur Vidéo

Posté dans Musique par Asthik

« Je vis une vie magique dans un écran cathodique. Dans un monde coloré, je me prends à rêver. Stop. Vivre sur vidéo. Les circuits intégrés. Sur un faisceau de lumière. C'est une vie fantastique. Un monde de lumières magnétiques. Au milieu des données, je voudrai me programmer. » – Trans-X

Merci à P. pour ses compilations qui m'ont rafraichi l'œil sur les années 80.

L’été s’ra chaud !!!

Posté dans Couple par Herr.ektor

Samedi 21 juin. Fête de la musique. Ainsi nous y voilà en été !!! Enfin !!! Après tant de pluie de grêle et de vents nous avons bien mérité notre moment de chaleur et de débauche qui annonce bien de futurs articles salés voire même pimentés. C’est les corps encore chauffés du soleil de l’aprem’ et les esprits aiguisés que les vipères avaient décidé de participer activement en tant que public hystérique et exigeant, à la nuit la plus courte mais la plus remplie de l’année (merci à Jacques Langue). Les degrés d’air et d’alcools ambiants ont ce soir là frôlé des sommets.

Tout a commencé au concert de F. que l’on savait en pleine expansion amoureuse. Accoudés aux tables, des verres de bières plus ou moins fraîches accrochés à la main, les vipères dodelinaient leurs têtes et quelques fois leurs corps tout entier au son de la musique électro-épidermo-hypnotique de F. . Une mystérieuse jeune fille à la taille corsetée et chaussée de talons hauts nous est apparue comme étant La dulcinée de F.. F. et A, ça fait FA et ça tombe bien pour un musicien. C’est peut être là, la première note d’une jolie balade ou d’une salade de bave…qui sait ? En tout cas, ils ont l’air et la musique de se plaire ces deux là. C’est donc au diapason que nous les avons laissés pour continuer notre périple dans les rues bondées. Extatiques nous avons rejoint la mythique place de la bourse et ses alentours pour s’envelopper de sons électriques et extasiques.

Dès notre départ nous avions perdu O. qui était resté rue des L en vue de faire finement connaissance avec les jeunes amis d’A.. Nous l’avons retrouvés sur cette place, mouvant son corps de façon délicate, face à un grand et charmant garçon velu, au milieu d’une foule en folie qui sentait la drogue et la transpiration. Nous avons pu alors assisté à un rapprochement des corps jusqu’au contact des muscles faciaux. Décidés à leur laisser un peu d’intimité, nous nous sommes retirés de la foule. Nous avons ainsi pu retrouver la majeure partie (les mineurs étaient au lit) des protagonistes du début. Tous plus saouls qu’avant et prêts à prendre toutes les drogues du monde pour s’enfoncer dans la débauche, nous avons pu assister à d’étranges mélanges de muscles faciaux plus ou moins contractés, de pupilles dilatées, de corps indécents et de comportements décadents.

Au milieu de cette frénésie, V. , colocataire de notre célèbre pinochatologue et C. , célèbre producteur, ont été pris en flagrant délit d’initier un rapprochement corporel. Nous les avons vu fuir les paparazzis bras dessus dessous. Nous n’avons malheureusement pas pu récupérer un seul cliché de cet événement, les paparazzis étant complètement souls et les photos floues (tant que nous n’auront pas réglé ce problème il faudra vous contenter d’imaginer).

Un peu plus tard dans la soirée nous avons retrouvé notre cher O. qui s’était éclipsé avec son jeune N.. Affalés dans l’herbe entre deux flaques de vomis douteux, trois cacas de chien et des montagnes de bouteilles, ils semblaient en bonne position. Mais le temps passa et jeunesse fila rejoindre son destin au Cléo, abandonnant notre pauvre O. un filet de bave à la bouche. « Point trop jeune n’en faut » furent les derniers mots d’O. qui s’en fût amer sur le fidèle destrier de D. prêté pour l’occasion. Après quelques chutes O. arriva sain et sauf dans sa future-ex-maisonnée rejoindre les bras de notre fidèle Morphée et rêver à des Histoires d’O..

Dans la soirée nous avons perdu la trace de B. , nouvellement dénoué d’une histoire d’amour kilométrique, qui s’en était allé chercher charmante compagnie. Si vous l’avez par hasard croisé ou que vous avez été témoin de toute autre situation coquasse ou coquine, venez nous compter ce que vous avez vu.

N’oubliez pas que chaque détail compte et tout témoignage doit être déposé ici dans les plus brefs délais pour le bien de la communauté.

Our sweet 21th (+10) birthday party

Posté dans Vipère party par Asthik

Un grand merci chaleureux et humide à vous, gens merveilleux, venus fêter les 21ans (+10) de L. et O.. Merci pour cette nouvelle soirée joyeuse de disco, de rires, de danse, de friction, et de pelles.

Une pensée émue pour F., qui découvre qu'il plait et enchaine les conquêtes avec toute la fougue de sa jeunesse, ainsi qu'à tous ceux absents qui nous manquent quand même.

Je vous laisse à la découverte de l'album de cette soirée décidément fluo.

Our sweet 21th birthday - Album

voir l'album de la soirée

Week end before the fluo party

Posté dans Faits divers par Herr.ektor

Quoi de neuf sur la planète vipère…???

En ce dernier week-end du mois de mai pourri et ce premier du joli mois de juin qui à l'air tout aussi pourri que l'autre, O a eu la joie de découvrir qui était le jeune trentenaire psychanalysé dont il a été fait état dans les articles et autres commentaires précédents. C'est le coeur léger et avec les vêtements adaptés qu'il est allé partagé quelques verres en début de soirée samedi. De source sûre nous savons que l'apéro s'est transformée en resto puis, vers minuit trente sept , en retour via le métro pour le petit O qui s'en fût faire dodo. Enfin, ça c'est une version plutôt officielle. Etant donné que nous, les vipères du net, savons que tout réside dans le versant officieux des choses nous avons mené l'enquête et découvert ce que O s'est empressé de faire une fois chez lui… O ne pensait en fait qu'à fignoler son déguisement pour la soirée fluo et nous avons même une photo pour illustrer tout ça… Une question reste cependant en suspend : O va t-il assumer ???

fluo-party

La suite au prochain épisode…

It's a rave Dave

Posté dans Musique par Asthik

It's a rave Dave.
just lots of people in a room spreading love and listening to tunes.
it's a rave Dave.

So what do i have to do then?

Just have a laugh and stand arround, bob your head round, up and down.
Stomp your feet up on the ground, to the kick drum as it sounds throw your hands up in the air, and maybe give a little cheer, go to the bar and get a beer, go speak to that bloke over there, and then my friend will sort you out, cuz thats what raves are all about.

À découvrir de toute urgence !

Vipère's electrofuck discosuicide party 2008/04

Posté dans Vipère party par Wank4me

« I need your dirty hands. It's getting big down your pants. Too intense. It's getting hotter. It's getting better. I know we could do it all night long. I want to fuck ! Enough of masturbation. I want to fuck ! No need for hesitation, just a body celebration. »

Voilà ce qui se passe lorsque Dalida rencontre Näd Mika et que Donna Summer frictionne Sexy Sushy. Friction, friction, orgasme.

Merci à vous tous pour cette merveilleuse soirée !

On vous aime ! mais pas trop.

En espérant vous retrouver très bientôt !

Fuckparty 2008/04 - Album

Vipère's electrofuck discosuicide party 2008/04 - Invitation

Posté dans Vipère party par Wank4me

Chers amis et curieux, tristes et heureux, couples et célibataires, sados et masos, vous êtes conviés avec chaleur et bonne humeur à la première vipère's electrofuck discosuicide party publique.

Le thème de la soirée est « sex-pétasses'n'roll ».
Latex, cuir et acier sont les bienvenus.
Accessoires, paillettes et attitude de rigueur.

Tout cela pour le samedi 3 Mai 2008.

Au plaisir de vous y retrouver !

Fuckparty 2008/04

Love, exciting and new...

Posté dans Faits divers par Cyprin

Love, exciting and new
Come Aboard. We're expecting you.
Love, life's sweetest reward.
Let it flow, it floats back to you.

Oh grande nouvelle ! Coco vient de passer la nuit enlacé dans les bras d'un coquin ! Combien de temps avait-il passé sans toucher de torse, de cuisses, nu comme un ver ? Son rêve vient d'être réalisé ! Je tiens à dire au nom de la team: « Vive le sexe, vive les paillettes et vive les vipères ! »

Espagnol pour le pire et le meilleur

Posté dans Musique par Asthik

Après une initiation – lourde de conséquences – par E. à la scène électrofuck espagnole, O. n'en fini plus de s'internationaliser pour le meilleur et pour le pire. En effet, le voici à présent piégé dans la Dance, se prenant même pour Jem et les hologrammes.

On ne le répètera jamais assez : abusez des drogues et surtout du maquillage !

30 ans de B., ou comment les lesbos ont disparu

Posté dans Vipère party par Asthik

Hier soir c'était le joyeux anniversaire de B. qui entre bien malgré lui dans le second tiers de sa vie, rejoignant quelques autres qui se sentaient seuls et vieux. Soirée très sympathique où les hommes étaient beaux et les filles pas mal. Boisson, cake, gâteau au chocolat. Puis, au fur et à mesure que le sol devenait plus amoureux de nos chaussures, nous jouant quelques tours (j'en ai vu finir dans des portes), tout a basculé.

On prévient toujours, mais c'est inévitable. Il ne faut pas inviter les lesbiennes-babos (ou lesbos), elles sont bien trop pénibles ! O. essayant d'entrainer, et d'étrenner, les jolis gens au son du disco dans une nuée de paillettes en a fait les frais. Despotiques de la playlist, handicapées du double-clic, il était quasiment impossible d'écouter une chanson dans son entier. Pas plus possible que de se déhancher en tout bonheur au son du « Call Me » de Blondie. Que la foule, emportée par le beat, conspue aux coupures brutales n'y changeait rien. Après qu'une dizaine de personnes aie tenté d'éloigner ses harpies de l'objet vital de la soirée (l'ordinateur qui joue la musique), O. décida de prendre les choses en main, comme il aime à le faire, avec toute la délicatesse et la diplomatie qui le caractérise.

« J'espère au moins que tu te rends compte que tu fais chier tout le monde à couper la musique sans arrêt ? À moins que tu fasses tellement de rétention annale qu'il t'es impossible de lâcher le contrôle de cet ordinateur, auquel cas je pourrai compatir. »

O. aurait pu s'en douter : la lesbos accepte difficilement les remarques masculines, même des plus perspicaces. À ce moment précis où la musique est coupée, où les corps en danse terminent leurs mouvements, où les yeux se tournent, cherchant une explication, où tout flotte comme de la bave dans un verre de coca-cola, la lesbos se lève.

Vociférant, elle pousse O. violemment, faisant tomber son serre-tête chevelu qu'il avait mit une heure à confectionner. Et là tout s'enchaine en moins de temps qu'il n'en faut pour dire « sado-maso ».

V., chevalier de chaque instant de O., surgit tel un cabri pour le réceptionner et s'interposer. Les mots fusent. Les gestes volent. Quand tout à coup, comme invoquée du néant, l'alter ego de la lesbos fond sur V., des deux côtés à la fois, dans un espace devenu surréaliste et improbable, et le frappe au visage avec un pilon à cocktails, lui brisant deux dents d'un geste rageur.

La foule se presse.
Des mains en surgissent et les saisissent.
Puis plus rien.
Le confort de bras chauds et humides.
Des caresses dans les cheveux.
Des cris qui s'éloignent au loin.
Une étreinte qui se relâche, rassurée.

Les lesbos ont disparu.

Furie lesbos